Poèmes des membres

[Sami]

n'oublie pas Babouchou elle va se vexer.....hein quoi?rien dit moi! :
plutôt notre Blue International mais si,il faut seulement avoir un PC,un zeste de romantic et de funny splash au Badoit avec les bulles qui remonte à l'envers et le tour est joué:D

[Babou]

n'oublie pas Babouchou elle va se vexer.....hein quoi?rien dit moi! :

Non, lol

Bravo Corinne
J'ai eu le privilège de le lire avant post. Entre la poésie et la prose, une belle façon de raconter << l'amitié >>.
Je reconnais ton style car je te connais un peu, beaucoup, pass..... je m'égards.
Tu sais c'est comme la marguerite qu'on effeuille. Et si elle n'a que 5 pétales ?
C'est joliment exprimé. A la fois doux et fort, tendre et amer.
Entre l'amitié et l'amour, il y a juste un pas. Alors je t'attends dans les Mystères.

[Corinne]

...
J'ai eu le privilège de le lire avant post. Entre la poésie et la prose, une belle façon de raconter << l'amitié >>.
Je reconnais ton style car je te connais un peu, beaucoup, pass..... je m'égards.
Tu sais c'est comme la marguerite qu'on effeuille. Et si elle n'a que 5 pétales ?
C'est joliment exprimé. A la fois doux et fort, tendre et amer.
Entre l'amitié et l'amour, il y a juste un pas. Alors je t'attends dans les Mystères.

Merci Babou.
Je tiens à préciser une chose : ce texte s'adresse à plusieurs personnes que j'ai connues. Il s'agit sincèrement d'amitié, d'histoires gachées parce qu'on se refuse à tendre la main. Dans ces histoires avortées, j'ai eu ma part de responsabilité, mais ce sont avant tout des aventures à 2.
Et puis Babou, je ne pense pas que tu me connaisses passionnément, si je puis te contredire. Pour me connaitre à ce point il faudrait ce petit "quelque chose" que je serai bien incapable de partager avec qui que ce soit. Alors, arrêtons nous sur "beaucoup" ce qui est déjà pas mal ne penses tu pas?
Je rappelle encore que ce poème ne parle pas d'amour mais d'amitié: il ne faut pas confondre les 2 ! même si, parfois, effectivement, il n'y a qu'un pas entre les 2.
Pour les Mystères, je vous laisse à votre duel. Je ne peux pas écrire entre vous : je risque un coup de plume !

[Krystos]

J emarque mon retour par quelques vers...........

La tristesse dans l'âme, Naviguant sur le styx
Tu me tiens le coeur de tes yeux qui me fixent
Essayant d'oublier les tortures de mon coeur
Tu me les rappelle par le biais de ta douleur

Je m'en vais de ce pas fougueux
Essuyer mes peines et mes yeux
Je m'en vais de ce pas oublier
Que j'ai pu t'aimer............

[Dorian]

Une petite chanson, un peu à la manière de celle de Laraider dans la forme.
Il faut savoir que si la chanson monte en intensité jusqu'au dernier couplet, la phrase "You were never there" est quant à elle répétée sur le même ton monocorde tout le long afin de trancher avec le rythme destructuré (avis au puristes, c'est tout à fait volontaire).

______________________________________

Absence.


Quand j'ai fait mes premiers pas,
You were never there.
J'ai parlé la première fois,
You were never there.
Quand elle m'a pris dans ses bras,
You were never there.
J'étais devenu l'enfant roi.
You were never there.

Quand j'ai commencé à lire,
You were never there.
A comprendre et à écrire,
You were never there.
Alors j'ai commencé à rire,
You were never there.
Sachant que j'étais capable du pire.
You were never there.

Tous les jours à l'école,
You were never there.
Bien moins en cours qu'en colle,
You were never there.
J'assumais parfaitement mon rôle,
You were never there.
Celui du mec super drôle.
You were never there.

Et quelques années plus tard,
You were never there.
J'étais devenu une star,
You were never there.
J'offrais du rire à boire,
You were never there.
Et je m'enfilais du caviar.
You were never there.

Un beau jour je l'ai rencontrée,
You were never there.
Et puis on s'est aimés,
You were never there.
J'ai commencé à me piquer,
You were never there.
Alors ma vie à changé.

You were never there,
You were never there,
You were never never never never never there.

Cette conne elle m'a plaqué,
You were never there.
Pour un autre drogué,
You were never there.
Ma vie n'en a pas plus changé,
You were never there.
J'ai continué à sombrer.
You were never there.

Noyé dans les années noires,
You were never there.
Bouclé rangé au placard,
You were never there.
Elu "people sans espoir",
You were never there.
Par des magazines de creuvards.
You were never there.

J'ai voulu reprendre le contrôle,
You were never there.
De cette horrible course folle,
You were never there.
Lancé dans le trafic d'alcool,
You were never there.
J'ai rapidement fini en tôle.
You were never there.

Et quand j'ai voulu en finir,
You were never there.
Parce que je n'avais plus d'avenir,
You were never there.
Alors je me suis mis à rire,
You were never there.
J'étais toujours capable du pire.

You were never there,
You were never there,
You were never never never never never there.

Aujourd'hui je ne suis plus là.
You were never there.
Maman se débrouillera sans moi,
You were never there.
J'ai compris un truc, tu vois,
You were never there.
J'avais ptet' besoin de toi papa.

You were never...

[Papofyse]

Salutatous,
Bien, c'est un parralèlle a ce que j'ai vécu, drogue et alcool sont à proscrire de mon "délire" mais d'autres "paliatifs" ne sont pas moins destructeurs ... reste que c'est une chose que j'aurai aimer écrire !

HS on
Je crois que pour beaucoup d'hommes d'une certaine génération, les contacts père/fils ont été difficiles ou voir inexistants, mais les gens évoluants dans leurs sentiments comme dans leurs vies; Certains ont pu avoir ce contact si personnel, cette discution ou cette aide paternelle !
Moi je l'ai eu cette discution, et finalement comme moi il étais en demande, j'ai eu ce moment particulier d'écoute, de compréhension, d'aide paternelle ... sa à été long, émouvant pour tout les deux, plein "d'amour", seulement comme nous ne nous connaissions pas intimement, il ne ma pas totalement compris ! pour lui nous nous étions mis à nu, nous avions remis les "choses" à plat, fait le bilan d'une vie ... il est mort heureux et moi je reste finalement "sur ma faim" et profondément malheureux de ne pas avoir su faire passer mon message, mon père qui étais mon modéle, un exemple, ne savais pas comment être ou redevenir un enfant, assez en tout cas pour se rapprocher de son fils, j'ai malgrès moi reproduit un peu le schéma avec mes enfants, reste que j'ai laisser une porte grande ouverte à l'amour, aux contacts ... j'ai eu à mon tour des discutions privilégiés avec mes fils ... sa ma fait mal mais c'était neccessaire, on ne peut pas laisser son fils se morfondre, s'écrouler psychologiquement ... on ne peut pas laisser son père ignorer ce que l'ont ressent ...
La vie de père n'est pas un long fleuve tranquille !
Et un homme n'est pas moins sensible qu'une femme, il le cache ...
HS off

[Dorian]

Tu as parfaitement compris le sens de cette chanson Papo.

[Krystos]

Cette chanson me parle etrangement .....je m'y voit pour certain passage quand je remonte les années en arriere ....mise a part je trouve la chanson bien construite et le texte poignant ( en tt néophyte que je suis dans le domaine de ce type de texte )

[Dorian]

Merci Krys, je pense que beaucoup de monde peut se retrouver à travers cette chanson, que le père soit présent aujourd'hui ou pas. C'est un sujet universel que j'ai un peu adapté à ma situation et à celle d'un ami.

[Krystos]

Les pieds nus sur un parterre de tessons
Je m'impregne de le froideur du canon
Seul mes cils, fébriles, brassent l'air
et mes doigts caresse ta crosse de terre

Un liquide innonde le dodue de mes joue
et mon coeur de ma vie se fout
Mes dents grincent de touché la gachette
Du Diable qui cracheras son cavalier sans tête

Un bruit assourdissant déboule du trou
C'est le cavalier qui dans ma tête se cloue
et dans un silence mortuaire
Je m'effondre par terre............