Non seulement, au plus grand désarroi de tous,
Vous flinguez sans pitié avec un tel sadisme
Amants et Cupidon, que vous filez la frousse
A Satan horrifié par ce cannibalisme ;
Mais encore telle qu’une poule qui glousse,
Vous vous flattez d’une maîtrise en érotisme,
Prônant d’offrir au lit de divines secousses,
Le tout enrubanné d’un divin romantisme.
Sur vos mots insensés, permettez-moi de rire,
De m’effrayer aussi, imaginant le pire,
Si Dieu m’abandonnait, me jetant dans vos bras.
Je préfère de loin partir sur les galères,
Endurer le fouet jusqu’au bout de la terre,
Et croupir dans la cale, heureux avec les rats.
