Romance Funeste

[Krystos]

Oyez ! Oyez, cher(e)s membres de notre bien-aimé forum et amat(rice)eurs de fictions... Si vous êtes restés sur votre faim ou si l'envie vous prendrait d'en découvrir davantage, sachez que j'ai décidé de continuer les folles péripétie d'Hell Babou et de Krystos.
J'en suis encore à chercher une intrigue intéressante mais il se peut fort que vous découvriez sous peu leurs nouvelles aventures, le prologue ayant déjà été rédigé...

[Babou]

Je suis prête pour l'aventure...... prépare ta longue épée

[Terry B.]

Babou !... Quelle audace !

[Babou]

Y a pas de pétard entre nous. Euh... si, mais d'un autre ordre

[Krystos]

Romance Funeste II : Un nouveau Défi

Prologue


Un bruit de talons aiguilles martèlent le sol des bureaux du Sun Times Magazine en cadence. Des regards lubriquement masculins, mêlés à celui des femmes brûlants de jalousie suivent alors le claquement de talon.
Personne dans ces bureaux n’avait vue tel créature auparavant ; ce genre de personne étant plus habitué à fréquenter les maisons de presse de mode.

Un tailleur Kenzo cintré par-dessus ses hanches et au décolleté plongeant sur sa poitrine généreuse, sa longue chevelure dorée épousant à merveille les courbes de son corps, la jeune femme, de sa main aux ongles nacrés d’un rouge Shu Uemera, tourne la poignée de la porte du bureau de la direction.
Sans prendre la peine de la regarder, Mr.Willard, le rédacteur en chef, sur un ton des plus hautain, s’adresse à la jeune femme :
— Il est d’usage de frapper avant d’entrer, mademoiselle !
Mais à peine lève t-il les yeux vers elle, qu’il se ravise aussitôt et, sur un ton mielleux, l’invite à s’assoir.
— En quoi puis-je vous être utile ? Dit-il en passant discrètement sa langue lubrique sur ses lèvres.
— Rassurez-vous, ça ne prendra que quelques minutes. Dit-elle avec une pointe de sadisme dont la subtilité n’éveille en rien la suspicion de Mr Willard.
— Eh bien, je vous écoute.
— Mon visage ne vous est pas familier ?
— Je vous demande pardon ? Je ne ….
— Voyons, un petit effort, je ne vous rappelle vraiment personne… Réfléchissez ! Finit-elle en une moue légèrement ingénue.
— Non, sincèrement, je ne vois vraiment pas… Attendez ! Vous n’êtes tout de même pas ma…
— Votre fille ?! S’exclame-t-elle en riant. Non rassurez vous, nous n’avons aucun liens de parenté et sans vouloir vous offenser, Dieu m'en garde.
Cette remarque l'ayant quelque peu brusquée, toutes pensées lubriques s'envolent aussitôt et sur un ton plus posé Mr. Willard demande alors :
— Ecoutez ! Cessons de tourner autour du pot et dite moi enfin qui je suis censé reconnaître en vous, mademoiselle !
— Très bien ! Je pense que ce petit quelque chose pourrait bien vous raviver la mémoire … Regardez bien !
Sans plus attendre, elle attache ses longs cheveux grosso modo, et là, sortant de son sac Gucci, enfile une perruque noire d'ébène, coupée au carré et finit par orner ses deux yeux de turquoise d'une paire de lunettes à grosse monture.
— Et maintenant ! Je ne vous rappelle toujours rien Mr. Willard ! Dit-elle en insistant bien sur son nom.
La réaction de Mr. Willard ne se fait pas attendre plus longtemps :
— C'est...C'est impossible ! Vous !! Balbutie alors Mr.Willard en se relevant brusquement de son siège.
— Eh si ! Dit-elle avec une pointe de sarcasme, tout en retirant perruque et lunette, devenues désormais parfaitement inutiles.
— C'est vous ! Babou ! Notre secr.....
— Votre secrétaire de direction, insignifiante, insipide, pathétique à en pleurer dont vous vous jouer depuis le début, que vous aspergez d'insultes et d'humiliations depuis le premier jour ou elle s'est acharnée chaque jour qui suivait à réaliser les moindres désirs de son moins que rien de patron, et ce, sans broncher....Oui, c'est bien moi !
— Mais... Mais vous...
— Cessez de balbutier tel un porc en rut ! Je ne suis pas venue ici pour travailler ! Je suis juste là pour vous dire au revoir a ma façon... je démissionne !
— Comment ça démissionner, mais vous n'y pensez pas ! Vous êtes indispensable dans ce service et je...
— Silence, tas d'immondices ! J'aurais bien envoyé ma démission au service des ressources humaines, seulement c'est un plaisir encore meilleur que de vous l'annoncer directement... à ma façon !
Depuis que je travaille ici, je n'ai été rien d'autre que votre larbin et la tête de Turc de toute la rédaction... Une pauvre nigaude à qui vous déléguiez les tâches les plus insignifiantes tout comme les plus exécrables ; et je constate, sans étonnement, que vous me regardez maintenant d'une manière bien différente mais toute aussi exécrable !
Alors laissez-moi vous dire une bonne chose, vieux pervers rabougris ! Je préfèrerais encore découvrir les joies du plaisir charnel avec des lames de rasoir en guise de simili-monsieur plutôt que de m'imaginer une seule seconde dans vos bras, et tant que vous y êtes, pourquoi vous n'iriez pas fumer votre gros cigare puant près d'une bouteille de gaz ouverte, car c'est la seul façon que vous aurais jamais de vous faire sauter !
Et sous le regard estomaqué de son ancien patron, Babou repart en claquant la porte du bureau, un sourire emprunt de satisfaction se dessinant sur ses lèvres exquises.

Mr.Willard se remettait a peine du choc subit il y a peu que la porte de son bureau s'ouvrit alors une seconde fois sur Babou, qui d'un ton moqueur et à la fois ravi, lui lança :
— Non ! Tout compte fait, c'est vous qui allez me virer, comme ça je toucherais des indemnités.

[Babou]

Un bruit de talons aiguilles martèlent le sol des bureaux du Sun Times Magazine en cadence.
Je note la construction de la phrase.

Un tailleur Kenzo cintré par-dessus ses hanches et au décolleté plongeant sur sa poitrine généreuse,
Je suis bien contente d'avoir une poitrine généreuse.

Sans prendre la peine de la regarder, Mr.Willard, le rédacteur en chef, sur un ton des plus hautain, s’adresse à la jeune femme :
— Il est d’usage de frapper avant d’entrer, mademoiselle !
S'il ne prend pas la peine de la regarder et qu'il lui dit « mademoiselle », c'est qu'il a des dons extralucides ! C'est une pratique courante, regarder sans voir c'est comme écouter sans entendre.

— En quoi puis-je vous être utile ? Dit-il en passant discrètement sa langue lubrique sur ses lèvres.
Pour le regard lubrique, je vois à peu près ce que ça peut donner, mais une langue lubrique, c'est la première fois que je la vois se pratiquer, là. Néanmoins, je visualise bien l'image.

— Voyons, un petit effort, je ne vous rappelle vraiment personne… Réfléchissez ! Finit-elle en une moue légèrement ingénue.
Faussement ingénue, la moue, à mon avis, mon dessein étant déjà tracé.

Sans plus attendre, elle attache ses longs cheveux grosso modo
Vite fait torsadés avec un stylo en guise de pic.

— Votre secrétaire de direction, insignifiante, insipide, pathétique à en pleurer dont vous vous jouer depuis le début, que vous aspergez d'insultes et d'humiliations depuis le premier jour ou elle s'est acharnée chaque jour qui suivait à réaliser les moindres désirs de son moins que rien de patron, et ce, sans broncher....
Il me semble même que je faisais des heures sup non rémunérées.

Alors laissez-moi vous dire une bonne chose, vieux pervers rabougris ! Je préfèrerais encore découvrir les joies du plaisir charnel avec des lames de rasoir en guise de simili-monsieur plutôt que de m'imaginer une seule seconde dans vos bras, et tant que vous y êtes, pourquoi vous n'iriez pas fumer votre gros cigare puant près d'une bouteille de gaz ouverte, car c'est la seul façon que vous aurais jamais de vous faire sauter !
Comment je parle ! C'est la phrase qui balance. D'autant plus que les rasoirs ne me font pas peur, surtout si ils prennent la forme de crocs effilés, transperçant doucement la chair de mon cou tendre. Ame immortelle.

— Non ! Tout compte fait, c'est vous qui allez me virer, comme ca je toucherais des indemnités.
Qui est fou !! Mais après avoir déversé mon venin, Willard acceptera-t-il de me congédier ?

[Corrector]

— Cessez de balbutier tel un porc en rut ! Je ne suis pas venue ici pour travailler ! Je suis juste là pour vous dire au revoir à ma façon... je démissionne !

Les porcs en rut balbutient ? Je ne savais pas ! Ce doit être amusant !

— Silence, tas d'immondices !

Il y a une décharge publique, dans le secteur ? Et elle fait du boucan, en plus, cette décharge. Ah ! La vache !

Depuis que je travaille ici, je n'ai été rien d'autre que votre larbin et la tête de Turc de toute la rédaction...

Ça, c'est bien vrai ! Je suis témoin, si toutefois vous avez besoin de mon avis !

Une pauvre nigaude à qui vous déléguiez les tâches les plus insignifiantes tout comme les plus exécrables

Décidément, les tauliers sont tous des exploiteurs dépourvus du moindre scrupule ! T'as bien fait de te défendre avec véhémence, Babou !

pourquoi vous n'iriez pas fumer votre gros cigare puant près d'une bouteille de gaz ouverte, car c'est la seul façon que vous aurais jamais de vous faire sauter !

Ça, c'est un coup bas ! Impressionnant !

— vieux pervers rabougris !

Très juste ! Je l'ai vu, ce vaurien. Allez hop ! À la casse, le vieux cochon !

— Non ! Tout compte fait, c'est vous qui allez me virer, comme ça je toucherais des indemnités.

Bien vu ! Je vois que Babou a fricotté avec les syndicats.

[Phantom_Blue]

Un prologue qui donne dans la lutte des classes, ça démarre fort ! Les vampires réclament la semaine des 35h et le droit à la retraite après 500 ans d'activité !

Un tailleur Kenzo… son sac Gucci… aux ongles nacrés d’un rouge Shu Uemera
Le prolétariat n'est plus ce qu'il était.

Un bruit de talons aiguilles martèlent le sol des bureaux du Sun Times Magazine en cadence.
Excellent. Normalement les talons aiguilles taquinent le sol dans des petits tic tac. Mais là ça annonce l'état d'humeur du personnage. Très bien observé.

— Votre fille ?! S’exclame-t-elle en riant. Non rassurez vous, nous n’avons aucun liens de parenté et sans vouloir vous offenser, Dieu m'en garde.
J'aime bien le "sans vous offenser", et après elle le cartonne avec les pires insultes : "tas d'immondices… porc en rut… vieux pervers rabougris".

enfile une perruque noir d'ébène, coupée au carré et finis par orner ses deux yeux de turquoise d'une paire de lunettes à grosse monture.
Apparemment des lunettes de chez Tati.

Je préfèrerais encore découvrir les joies du plaisir charnel avec des lames de rasoir en guise de simili-monsieur
Oui, mais version SM, ça doit être plaisant, pour ceux qui aiment.

plutôt que de m'imaginer une seule seconde dans vos bras et tant que vous y êtes, pourquoi vous n'iriez pas fumer votre gros cigare puant près d'une bouteille de gaz ouverte, car c'est la seul façon que vous aurais jamais de vous faire sauter !
Même dans "Amour gloire et beauté" ils auraient pas pu sortir ça !

—Non ! Tout compte fait, c'est vous qui allez me virer, comme ca je toucherais des indemnités.
Dans l'épisode 2, Babou demande des dédommagements et intérêts pour l'affaissement de ses seins causé par les longues séances de frappe sur le clavier.

[Babou]

Un bruit de talons aiguilles martèlent le sol des bureaux du Sun Times Magazine en cadence.
Excellent. Normalement les talons aiguilles taquinent le sol dans des petits tic tac. Mais là ça annonce l'état d'humeur du personnage. Très bien observé.

Effectivement, très bien observé de part et d'autre. Pour faire une parallèle, ça me fait penser à la secrétaire (amoureuse de son patron) qui tape nerveusement sur le clavier, pendant que son patron, dans la pièce à côté, s'entretient avec une blonde sulfureuse.

Dans l'épisode 2, Babou demande des dédommagements et intérêts pour l'affaissement de ses seins causé par les longues séances de frappe sur le clavier.

C'est l'inverse, les mouvements de frappe musclent. Ces choses doivent rester libres. C'est le fait de les enfermer dans des poches baleinées qui neutralisent tout mouvement et donc empêchent une muscu naturelle.

[Krystos]

Episode 1

Nerveusement, elle entortille de son doigt fin une de ses mèches de cheveux brun délicat, avançant à une cadence rythmée en direction de la chambre 6.66. La lumière aveuglante des néons efface de ces lieux stériles toute ombre, quelle qu'elle soit. Les vapeurs de formol et d'éther lui viennent aux nez en un flux nauséeux et piquant. Chaque jours passés à l'hôpital New Heaven, de la petite bourgade de Crystal Lake en Pennsylvanie, depuis ces dix dernières années ont eue raison de l'odorat de Pamela Delaby.
Issue d'une famille modeste, Pamela, que l'on appelle de coutume Pam, a depuis sa tendre enfance, toujours été irrésistiblement conduite par un besoin inflexible de venir en aide à son prochain. Ses parents ne furent alors pas surpris de voir que leur fille adorée se destinait au métier de la santé.
Loin de ressembler à l'infirmière de base, que l'on imagine grassouillette et légèrement rustre, Pam serait plutôt du genre de celles que l'on voit dans les films d'épouvante de série B, mince et sexy au diable. Sa seule différence avec ce stéréotype réside dans sa grande intelligence et sa profondeur d'âme.

Accoudé à la porte de la chambre 6.66, Mickaël Dervillers, surnommé Chewi dans l'intimité par Pam.
Mickaël, tout juste promu au poste de résidant en psychiatrie, venait juste de biper Pam afin de lui montrer un cas fort inquiétant.
Le sourire qu'elle lui lançât alors ne laissait aucun doute quant à leur rapport. En effet, en plus d'être collègue dans le même hôpital, les deux jeunes gens sont mariés depuis quelques années déjà et vivent leur union en parfaite harmonie. On pourrait croire que de travailler ensemble pourrait avoir des conséquences néfastes. Il n'en est rien. Nos deux amoureux ont, depuis le début, su faire la différence entre vie professionnelle et vie privée.

Arrivée à sa hauteur, Pam, dans un sourire lui demande :
— Tu m'as bipé ?
— Oui ! J'aimerais que tu vois ça.
Sur ces mots, il lui ouvrit la porte de la chambre.
Sur le lit, un homme, les bras et les pieds attachés par des sangles.
— Tu me fais un topo ? demande Pam.
— Hé bien voila, notre cher ami a été admis ici pour de violentes blessures à l'abdomen, perte de sang importante et traumatisme crânien. Jusqu'à présent, rien de plus normal...quoiqu'à en juger par ses blessures, on se demande bien si il ne serait pas passé sous une moissonneuse. Il a de la chance d'être encore en vie.
— Oui, je vois. Mais ce n'est pas juste pour ça que tu m'as fait biper, n'est-ce pas ?
— Tout juste. Il s'est réveillé il y a deux heures. D'après les médecins du service de chirurgie, il tenait des propos incohérents. Les plus folles inepties sortaient de sa bouche et c'est d'ailleurs pour cela qu'on a fait appel à moi... suis moi.
Les deux jeune gens se dirigent alors vers l'homme allongé, qui, en les voyant commence à murmurer avec difficulté :
— Sauvez-moi ! Je vous en supplie, j'ai peur, sauvez-moi.
Aussitôt, Mickaël, se tournant vers Pam, lui dit :
— Ça recommence.
Avec affolement, l'homme se met à jongler du regard entre Pam et Mickaël. Ses lèvres se mettent à trembler, laissant choir une écume de bave blanchâtre. C'est alors qu'il se met à se débattre violemment sous les yeux stupéfaits de Pam et là, il se mit à hurler :
— Laissez-moi partir ! Il va revenir me chercher, détachez-moi bordel ! Vous ne comprenez pas, bon sang ? Détachez-moi...
— Calmez-vous ! Vous êtes en sécurité ici ! Essaye de le calmer Pam par ses paroles douces. Sur quoi l'homme se détend, les joues encore ruisselantes de larmes.
— Vous êtes en sécurité ici. On va vous aidez.
— Vous ne pourrez rien faire pour moi, Il est trop fort, Il me retrouvera et... il me tuera !
— Qui ? Qui veut vous tuer ?
Les yeux de Pam et Mickaël furent alors pris de stupeur au nom de la chose pourchassant l'homme
— Jason, Jason Vorhees !

A cinq mètres du sol, les pieds pendant dans le vide, assis sur la grosse branche d'un hêtre, Krystos recrache par intermittence, le souffle frais et mentholé d'une Royale Menthol.
Le vent chaud et doux qui traverse Central Park, lui caresse les cheveux comme mille mains tendres et délicates.
Expulsant, d'un maniement subtil de son pouce et de son index, sa cigarette au sol, Krystos, d'un seul bond, redescend sur la terre ferme.
Devant lui, les mains croisées sur sa poitrine enveloppée de cuir, comme le reste de son corps, Hell Babou lui lance :
— Alors Darling ? Je t'ai pas trop fait attendre ?
Sans même se donner le temps de répondre, Krystos avance d'un pas sur vers Hell et sans demander son reste, lui vole avec fougue un baisé qui rendrait jaloux Aphrodite, Cupidon et Eros réunis.
Toute secouée, Hell dans un sourire reprend :
— Eh bien, je devrais être plus souvent en retard moi !
— On y va Sweety ?
— C'est parti.
Main dans la main, ils se mirent à marcher dans le parc, tout juste éclairé de quelques lampadaires, épiant le moindre bruit suspect en cette nuit sans lune, cherchant toute trace de présence démoniaque.
Les sens de nos deux amoureux sont à leur paroxysme, la main d'Hell est prête à dégainer sur le champ son Katana fétiche. Seulement, au bout d'une heure, rien ne se passe.
Sur un ton quelque peu frustré, Krystos dit à Hell :
— Cette nuit est bien calme, Hell ! J'ai comme l'impression que ce n'est pas ce soir que les têtes vont tomber. On ferait bien mieux de renter, de se faire couler un bain et de...
— Il va falloir remettre ton bain à plus tard, l'exterminateur !
Au son de cette voix, Hell et Krystos se retournent alors aussitôt. Dans leur esprit se mêlent confusion et colère. Hell et krystos, stupéfaits de ce qu'ils ont sous les yeux répondent en chœur :
— Luny ? ! !