Poèmes des membres

[Krystos]

Court mais bon !!!

Sa change de la tournure un peu sombre qu'avait pris ce topics ces derniers mois, c'est frais, nouveaux, j'aime beaucoup.
Sa se lit presque chantant

[Krystos]

Je suis né du péché originel.
Ma peau à le touché du velour lassivement caresser.
Ma bouche plus exquise qu'un fruit d'été fraîchement ceuillis.
Et le reste de mon corps conçus à l'image même de la perfection divine.

Seulement mon envelloppe charnel renferme tout les maux de la terre tel la boite confié à Pandore.
Conduit par des sentiments corrompus, je nuit aux amours d'autrui.
Mon avidité cerner de cupidité génétique engendre guerre sur guerre, siècle après siècle.
D'un souffle, je détruit forêt et écosystème.

Je suis la grande faucheuse de notre matrice universelle.
J'affame les enfants des quatres coin de notre biosphère et enflamme les nations les plus unies.
J'anéantis la vie la plus pur et me plain de voir notre monde choir dans le néant !

Je suis l'apocalypse incarné, une réalité trop présente. Déstruction, création, destruction, créations sont mes mots d'ordre.
Vous me prenez pour le diable en personne mais pardonnez moi, ne m'en veuillez pas car je ne suis ...qu'un être Humain !

[Dorian]

Belle montée en puissance pour un final qui tranche et stoppe net le lecteur en pleine effervescence, pour dévoiler une révélation puissante et sourde. Le pire, c'est que ça, c'est bel et bien la réalité.

[Babou]

J'ai lu les quatre premiers vers. J'ai continué jusqu'au bout. J'ai relu les quatre premiers vers, et j'y suis restée. Accrochée !

Seulement mon envelloppe charnel renferme tout les maux de la terre tel la boite confié à Pandore.

Et puisque ton enveloppe charnel, tel la boîte confiée à Pandore, renferme tous les maux de la terre, il te reste, il nous reste l'ESPOIR !

Ma peau à le toucher du velours lascivement caressé.
Ma bouche plus exquise qu'un fruit d'été fraîchement cueilli.
C'est très beau

[Phantom_Blue]

Vampire

Dans ce rêve qui meurt, ton doux corps s’abandonne
Aux caresses de sang qui font vibrer mon âme.
Tes grognements de fille attisent dans les flammes
De mes baisers volés, nos deux cœurs qui résonnent.

Quand la cloche fêlée en haut du beffroi sonne
Les douze coups maudits, et que le veilleur clame
Les vers du grand sommeil obscur qui nous condamnent
A errer dans la nuit, dans des cris tu te donnes.

Baignée de convulsions, tu laisses mon désir
Pénétrer dans ton être, et c’est mille soupirs
Qui déferlent en force avec des râles noirs.

Et je me noie sans fin dans tes yeux sataniques,
Où viennent se briser en vagues extatiques
Les plaisirs interdits de tous mes désespoirs.

[Sami]

waoh..............

[Enilis]

Baignée de convulsions, tu laisses mon désir
Pénétrer dans ton être, et c’est mille soupirs
Qui déferlent en force avec des râles noirs.

C’est très beau

[Babou]

Le sonnet tout entier fait vibrer, mais pour moi c'est le dernier tercet.

Et je me noie sans fin dans tes yeux sataniques,
Où viennent se briser en vagues extatiques
Les plaisirs interdits de tous mes désespoirs.

[Krystos]

Une larme d'amour coule le long de ma joue pour
Se couché tendrement dans la comissure de mes lèvres.

Son goût amère me rappel à chaque jour
Ton souvenir et je suis emporter pas une douce fièvre

Délicatement enrober de ténébres, je sussure mon amour infinie
Aux oreilles de la Lune attendrie

Qui me berce de sa lumière diffuse et tendre
Jusqu'a m'emmener dans un sommeil sans cendre

Et la je rêve de ton corps sans retenue
Je rêve de ton âme à cru

Ta main onirique rejoint alors la mienne
Sans que la distance ne nous retienne

Libérés des Tabou nos deux corps s'unissent
Tu étreint mon coeur amoureusement

L'espoir que rien ne finissent
Se dresse alors sans faux semblant

Mais je me réveille alors et tu n'est pas la
La réalité me rattrape a grand pas

Mais l'espoir s'est graver en moi
Et jamais je ne laisserais tomber

La chance innesperer
Te rejoindre un beau jour tes bras....

[Phantom_Blue]

Ca donne envie de tomber amoureux, d'être foudroyé par la tentation de tous les plaisirs. Tu devrais le tagguer sur les murs de la city, pour rappeler au peuple que seul compte l'amour.