Sami (deuxième partie)J'ai décidé de transformer ce jeu du relookage de Sami en concours, mais un concours pour rire bien sûr, y a pas de lot. LoooL
Le ou les gagnant(es) sont ceux ou celles qui se rapprochent le plus de "ma vérité", cad de la manière dont moi je l'ai transformée, je dis bien transformée, tout en gardant le corps papillon légèrement modifié.
Quelques explications sont nécessaires. Si j'avais mis la tête de Sami sur le corps d'une Angie, d'une Lara en mini shorty, d'une policière en uniforme, d'une écolière en petite robe vichy bleu ou rose etc ..., Sami serait restée Sami (la seule idée qui aurait fait un changement réel est celle de la roqueuse pink destroy - montage difficile et qui ne se rapproche pas du mien).
Moi j'ai pris le problème à l'envers, à savoir : j'ai changé sa tête !!
Les deux gagnantes sont :
Sun et Lostris car la reine de Narnia et Jacqueline Natla sont toutes les deux ............. Ã vous de juger ......
Le poème, avec juste un adjectif changé car sa belle était brune, est de Philippe Rendax.L'ABANDONUne femme blonde, à la fin du printemps,
Au coucher du soleil devant moi s'étendit,
Déployant tout son corps bien qu'il s'en défendît,
Pour se mettre à l'abri, hors du lieu hors du temps.
Elle se voulait offerte, et toute à son sourire,
Bien que l'anxiété brilla dans son regard,
En lutte avec l'amour qui vaincrait tôt ou tard,
Dans le tourbillon fou des âmes qui chavirent.
Les bras dessus la tête, et les deux mains croisées,
Elle sourit un peu, étonnée que son corps
Sommât à son esprit ce qui serait son sort
Ce soir : amante malgré elle, et dévoilée.
Les cheveux en broussailles étoilés sous les bras,
Elle s'est abandonnée et son charme s'accroît.
Ce corps sous le satin bientôt trouvera roi,
Mais nul ne sait ce qui vraiment adviendra.
Les paupières closes aux cils noirs allongés
Témoignaient l'abandon d'un visage angélique
Au petit nez mutin, Ã la bouche magique,
Dont les lèvres vermeilles attiraient le baiser.
Elle affichait une réserve virginale.
Sous le tissu nacré, ses petits seins tremblants
S'élevaient, s'abaissaient, au rythme pantelant
D'une respiration saccadée, anormale.
La ceinture nouée sur la nuisette blanche
Resserrait le tissu sur une taille étroite,
Et dessous les cuisses qu'elle a longues et droites,
Rebondissaient, électrisées, ses rondes hanches.
Elle gardait les pieds joints, timides et menus,
Et ses mollets galbés, ceux d'une ballerine,
Conféraient à ses jambes une allure divine.
Tout son être en sommeil me criait : mets-moi nue.