par Raptor_Powell » 06 Sep 2006, 22:20
Bon accroché vous, celui-là est master, et pt-être un peu dure à comprendre.
Des couloirs sombres en acier,
Des jet de vapeur sortant des tuyaux crevés,
Des arc électrique jaillissant des lampes brisée,
Un lieu qui ne peut que vous oppresser.
Il y a séant deux personne opposé,
Et qui pourtant par leurs destinées sont liés,
Ils se cherchent dans un véritable enfer,
Qu’on imagine difficilement sur terre.
Les poignet et les chevilles cerclé d’acier,
Son visage plein de larmes et désespéré,
Le sang coulant sur sa chemise déchirée,
Et tombant sur les lambeaux de sa jupe plissé.
Les mains en sueur sous ses mitaines,
Mais tenant fermement son fusil,
Ses vêtement se fondant dans cette sinistre scène,
Ses joue brûlantes devenus cramoisie.
Attachée là depuis des jours,
Les chaînes barrant ses bras et sa poitrine,
Le ventre tourmenté par la famine,
Et craignant de rester là pour toujours.
Le cuire de ses chaussure grinçant,
Avançant avec précaution,
Forçant le silence en se déplaçant,
Concentré de tous son être sur sa mission.
Terrorisée par ce qu l’attend,
N’ayant plus la moindre trace d’espoir,
Elle sait qu’elle n’en a plus pour longtemps,
Mais de son sort elle ne veut rien savoir.
Pointant le canon de son arme à chaque tournant,
Ne passant pas une porte avant d’être sûre,
Il va quand même de l’avant,
Et son visage peint reste dure.
Obligée de supplier son bourreau,
Cédant sous le poids des tortures,
Elle a finalement réclamé en un sursaut,
D’être achevé entre ces quatre murs.
Stressé par le temps qui s’écoule,
L’horloge de sa montre avançant à toute vitesse,
Il sait qu’à une seconde près tous s’écroule,
Ou bien passe de justesse.
Une semaine passé à être à peine abreuvée,
Et mutilée des pires façons qui puisse exister,
Elle sait qu’elle ne verra plus le soleil se lever,
Maintenant qu’elle a demandé à être exécutée.
Son pistolet luit sur sa hanche,
Et son couteau brille dans le noir,
S’il ne laisse pas de possible revanche,
Toute l’histoire finira ce soir.
Son tortionnaire approche couteau à la mains,
Il le brandit pour l’éviscérer,
Elle sait qu’elle est au bout du chemin,
Et que le misérable va la massacrer.
Il s’approche à pas feutré,
Près à faire feu au moindre moment,
Il sait qu’il va devoir entrer,
Et mettre fin au tourment.
L’homme s’apprête à lui percer le cœur,
La petite écolière le regarde fixement,
Attendant sont châtiment,
Pour avoir refusée la douleur.
Soudain dans une rafale d’éclaire fulgurant,
Le monstre s’effondre à terre,
Un flot rouge jaillissant tel un torrent,
Des trous béant qui marque à présent sa chaire.
Luttant contre son agonie,
Il trouve la force de tirer sur son ennemie,
Et puis s’enfonce à tous jamais,
Dans l’éternelle obscurité qui le guettait.
La petite écolière sage,
Et le soldat courageux,
Deux personne qui devait se croiser dans ce lieu,
Car le second devait sauver la première d’un carnage.
Dans cette pièce sombre,
Ils sont face à face,
Avec sur leurs visage la même ombre,
Trace de séquelle tenace.
Pour lui des combat,
Pour elle des torture,
C’est ainsi que ça va,
Dans ce monde de plus en plus obscure.
Mais ils se ressemble encor bien plus profondément,
Marqué tous deux d’un même sang,
Qui trace sur leurs vêtement,
La marque des survivant.
S’effondrant au pieds de l’écolière,
Le soldat tombe sans cri ni crainte,
Blessé par une unique balle meurtrière,
Il accompagne l’écolière sans plainte.
Elle entravée physiquement par des fers,
Lui paralysé par ses blessures,
Mais leurs amis viennent les sauver,
Et les ramener vers le ciel d’azur .
Raptor_ powell
Terror of child, a storry to delta force.