Une nuit d'enfer


Laissez aller votre imagination et faites-nous part de vos histoires, poèmes...

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Messagepar Babou » 18 Déc 2006, 18:17


Pour ceux qui n’auraient pas capté le jeu de mots : Suchard… Suce-Hard !

J'ai sauté sur l'occase du mot décomposé et non pas en décomposition :D

Laraider a écrit:Ben ... quand je suce une "italienne" au bord de mer, je ne pense pas que mon bac de glace au congelo, soit jaloux :)

Oui, comme quoi ça dépend ce qu'on suce ! :hihi:
La parole se fait spontanément rythme dès que l'homme est ému, rendu à lui-même, à son authenticité. Oui, la parole se fait poème. (Léopold Ségar Senghor)
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Messagepar Phantom_Blue » 27 Déc 2006, 11:02


Épisode 14

Valérie se regarda dans la glace au-dessus du lavabo et se trouva super jolie avec ses couettes blondes et sa frimousse de lolita.
— Quand même le top d’être élève à l’Académie.
Campée à côté d’elle aussi devant un lavabo, Elisa envoya :
— Ouais, quand je pense aux autres filles de 13 ans qu’ont une vie banale.
— Purée, ouais, renchérit Carole, à côté d’Elisa, en se passant une léchouille de gloss « Roose de Sweet Girl » sur les lèvres. On est quand même des veinardes.
— Et vous avez vu, lança Carole, pour le contrôle on a un stage à Racoon City !
— Trop la classe ! s’exclama Elisa. Et vous avez écrit quoi pour la disserte ?
Valérie se passa un coup d’eye-liner sur les cils.
— Ben j’ai écrit que flinguer un zombie, c’est un acte de compassion, vu que tu lui rends service, mais que c’est aussi un acte de nécessité, vu que tu évites qu’il se reproduise.
— Purée, crachota Elisa, j’arrivais pas à choisir entre les deux, j’ai marqué que c’était un acte de compassion nécessaire.
— Mouais, répondit Valérie, c’est une possibilité.
— Arrêtez avec votre disserte, coupa Carole, encore une heure de cours et on s’arrache.
Soudain une vibration agita le sol, le carrelage se souleva comme une levure dans le four, des carreaux valdinguèrent.
Et les tronches de plusieurs ratos apparurent dans le trou, juste derrière les trois gamines.
— C’est bon, dit l’un d’eux en louchant sous la jupette plissée de Valérie, y a de la poulette en petite culotte.
Cinq secondes à peine, quatre mains et deux pattes agrippèrent les queues des ratos, les dégagèrent vers le bas, et les bouilles de Kisshu, bebe big boss et Cromwell surgirent du trou, les zieufs exorbités braqués sous les jupettes des trois girlettes.
— Wouah ! s’exclama Kisshu. Quand même autre chose que Sandy et son shorty !
— Tu m’étonnes, saliva Cromwell, on va les dresser, les gamines.
— Bouark, dégobilla bebe big boss, la bavette amère, des petites pisseuses !
Valérie regarda Elisa et Carole, et jactouilla :
— Sûrement un exercice de Charly. Allez les filles ! Méga fooooot !
Les godasses vernies des apprenties RE girls shootèrent dans les têtes voyeuses avec des spacks sonores.
Les oreilles en pointes plus très pointues, because la semelle 36 de Carole dans les dents, Kisshu dégringola dans le trou.
Les deux canines de Cromwell s’envolèrent in the luft, avant qu’il rejoigne brutalement Kisshu.
Quant à bebe big boss, ses mâchoires dodues aplaties, il retrouva vite les deux autres.
Les ratos se barrèrent dans le tunnel, les pattes claquant au derche, une cavalcade effrénée pleine de gouttes de transpiration.
— De nos jours les gamines sont d’une effronterie, articula bebe big boss en se relevant avec peine, la marque de la semelle sur sa joue gauche.
— Ouais, approuva Kisshu en se palpant les mandibules, et là c’est que des gamines. Tu verrais les baffes que me file Sandra.
— Je crois qu’on va se faire oublier quelque temps, proposa Cromwell, ça commence à devenir sérieux dangereux.

Nos quatre RE girls déboulèrent sur le large perron du musée du chocolat, crunchant des friandises.
Quand une flopée de types en treillis noirs, cagoulés, se pointèrent speed, braquant des guns à viser laser, une nuée de points rouges scotchés sur les quatre paires de lolos.
— Plus un geste ! gueula un des types. Les mains sur la nuque !
Un filet fusa dans l’air et enveloppa Enilis. En même temps deux fléchettes anesthésiantes se plantèrent dans ses cuisses.
— Nini ! cria Sandra.
Alors que la partie semblait perdue, un essaim de corbeaux tomba du ciel, les becs pointés comme des pics à glace, et s’abattit sur les types en treillis.
Et c’est au milieu d’un ramdam d’ailes et de coups de becs hystériques qu’ils filèrent vers trois vans garés plus loin derrière des bosquets.
— Ben ça alors ! s’exclama BB-lilith. Z’avez vu ?
Les vans démarrèrent en trombe et s’éloignèrent, les corbeaux les suivant en martelant les carlingues.
Sandra dégagea le filet, retira les fléchettes et constata qu’Enilis dormait.
— Purée, ils voulaient l’enlever. Heureusement qu’elle a rien. On a eu chaud.
Clac-Clac se posa sur le muret du perron, ébouriffa ses plumes et claqueta :
— Salut les filles, on dit quoi à son petit corbeau chéri ?
— Wouah ! s’extasia BB-Lilith. Si t’étais pas un piaf je te roulerais une pelle !
— Ça vaut bien quelques petites culottes, non ? qu’il envoya, le Clac-Clac.
— Ouais, dit Sandra, je crois que tu les as bien mérités. Dès qu’on rentre, je t’en donne.
— Euh, gargouilla Clac-Clac, j’aimerais bien celles de vos karts.

Enilis clignota des yeux. Un néon éblouissant barrait sa vue. Elle tourna la tête. Distingua le visage de Sandra, allongée comme elle sur une table.
La voix de Charly tonna dans l’air.
— Vous êtes sûre que ces puces d’ADN sont efficaces ?
— Parfaitement, répondit une voix de femme. Le concentré a été testé sur des macaques. Toutes les molécules combinées se sont avérées opérantes. On a obtenu avec succès l’élasticité de la pieuvre, la rapidité de la mante religieuse, la vitesse de course du guépard, la force du rhinocéros, la nage en apnée du crocodile, et le saut du kangourou, le tout surmultiplié. Seulement vu les métabolismes différents, les puces agiront plus ou moins vite, et peut-être pas de façon complète. Je soupçonne même le mental d’influencer sur elles.
— Ça n’a pas d’importance pour un premier essai, dit Charly, l’essentiel est de les tester sur quatre filles. On verra par la suite d’après les résultats.
La voix de Sandra se superposa à celle de Charly.
Enilis vit un flou rose au-dessus d’elle, deux couettes, enfin le visage de sa copine.
— Nini, réveille-toi !… Tu m’entends ?… Ça y est, elle ouvre les yeux…
— Ou la, murmura Enilis, quoi qui s’est passé ?

Sandra n’en crut pas ses oreilles après le récit d’Enilis.
— Saperlipopette ! C’est pas vrai ! Alors comme ça Charly nous aurait implantées des puces d’ADN pour nous booster ?
— Ben y a des chances, souffla Enilis, ça expliquerait bien des choses.
— Si je comprends bien, dit BB-lilith, cette anesthésie aurait fait surgir ce souvenir oublié dans ta mémoire ?
— Oui, vu que Charly a sans doute effacé cette séance après l’implantation des puces, expliqua Enilis, comme à vous toutes d’ailleurs.
Du coup, Aeryn Sun s’envoya une autre rasade de gnole derrière le soutif des lolos.
— Mais alors, demanda Sandra, elles sont où, ces puces ? Dans notre tête ?
— Je crois pas, répondit Enilis, faudrait voir si on a une cicatrice quelque part.
— Ben quand j’ai pris ma dernière douche, avant que Jojo m’enlève, j’ai rien remarqué. Peut-être qu’elle est dans le dos, ou sous la plante des pieds.
— A mon avis c’est indécelable, dit BB-lilith, vu déjà que c’est des puces, donc c’est super petit. Si ça se trouve, elles mesurent moins d’un millimètre, suffit juste de les fourrer sous la peau, et ni vu ni connu.
— Et il nous les aurait mises quand ? demanda Sandra.
Un moment de réflexion embrasa les couettes des RE girls. Quand BB-lilith s’exclama :
— Vous vous souvenez de ce stage de trois jours pour une remise à niveau ? Y avait juste nous quatre ! On a logé dans la partie ouest de l’Académie, dans une grande piaule.
— Ouais, continua Enilis, c’est possible, suffisait de nous endormir, et hop ! on se retrouve avec des super pouvoirs.
— Ben moi j’ai eu encore aucun effet, crachota Aeryn Sun.
— Normal, répliqua Enilis, à mon avis l’alcool que tu siffles empêche ta puce d’agir.
— Vous savez quoi, les filles ? proposa Sandra. Vu que ces puces se déclenchent dans un certain état mental, je dirais positif, on va se mettre dans cet état, et donc toi, Sunny, t’arrêtes de picoler.
Aeryn Sun tira un lifting pas jouasse en entendant le plan.
Sandra brailla soudain, les poings sur les hanches, les couettes agitées :
— Allez les filles ! On ratisse la ville, puis on fonce à l’Académie, on attrape Charly, et on lui secoue les puces !… Euh, oui, c’est le cas de le dire…
— Je dirais un autre truc, cracha Enilis, on file tout de suite à l’Académie et on chope Charly, là c’est trop grave de chez grave ! On est pas des cobayes, nan mais !
Les autres approuvèrent tout de suite, et ça redémarra plein gaz sur les karts.

Sandra : Je comprends tout maintenant, c’est le doute et mes crises de larmes qui ont fait que j’étais plus aussi rapide. Donc la puce s’est désactivée, si on peut dire ça.
BB-lilith : Ouais, et pour moi c’est le mental aussi qu’a joué, quand j’ai pensé à la scène d’amour du Titanic, ça a activé ma puce.
Enilis : Ben moi c’était au tir, quand j’ai pensé aux pouffes avec Jared. Donc la haine peut aussi activer les puces.
BB-lilith : T’imagines, Nini, si t’avais pas sombré dans le sommeil, on l’aurait jamais su.
Aeryn Sun : Ouais, purée, le Charly il est quand même diabolique.
Sandra : Mais j’y pense, y a d’autres filles qui ont reçu des puces ? Sûrement, y a Pink qui a flingué 145 zombies en une minute.
BB-lilith : Mais c’était de la frime pour te faire marcher. Nini a bien entendu que Charly a dit que c’était un premier essai avec nous quatre.
Enilis : Ouais, et maintenant que j’y pense, je me demande qui c’est la femme qui était avec Charly ?
Sandra : Peut-être Nancy la psy.
Enilis : Ça m’étonnerait, sachant qu’on a des super capacités physiques, elle m’aurait pas attaquée avec son soutif.
Aeryn Sun : Quelle aventure, les filles, je vous jure, ça me donne soif !
Sandra : Naaaan, pas d’alcool !
BB-lilith : Ouais, et t’as pas intérêt à picoler en douce.
Enilis : Ouais, et t’adoptes des pensées positives, ben d’amour comme Lilith, ou de haine, vu que ça a l’air aussi de marcher.
Aeryn Sun : Pour l’amour ça va être dur, je vois pas quel mec peut être qualifié de prince charmant, sinon pour la haine c’est fastoche, rien que de penser à une bouteille que je peux pas siffler, j’ai déjà les neurones en ébullition de massacre.
Les filles rigolèrent à donf.

Mais un nouveau danger se profila à l’horizon du bout de la route.
Crado Cat, un affreux matou blanc psychodingo de guns, et ses Pussies Kätzchen, des minettes féroces excitées du trou de balle, de balles et de trous dans tout ce qui bouge.
Ils glandaient sur une pelouse avec leurs ceinturons autour des bides, deux holsters avec des guns sur chaque côté, des canettes de bibine dans les pattes, vraisemblablement fauchées dans le Maxi Coop pas loin. Exact, vu la devanture défoncée.
Enilis : Euh, les filles, je me sens encore raplapla, je sais pas si je vais pouvoir assurer.
Aeryn Sun : Et moi… hips… comme une envie de gerber de nouveau…
Sandra : Z’en faites pas, je vais les nettoyer, moi, les minets !
BB-lilith : Euh, les filles, je me sens en forme là, j’aimerais tenter un solo.
Sandra : Wouah, c’est une première, t’es sûre ?
Enilis : Ça doit être ta puce qui agit.

BB-lilith fonça en avant, laissant les trois autres RE girls arrêtées dans leurs karts, Aeryn Sun gerbant sur le macadam.
Crado Cat tourna sa grosse tête de matou fétide vers le kart qui se pointait. Un éclair venu de l’enfer illumina ses prunelles sadiques vert métallique.
Il écrabouilla la canette dans sa patte. De la bibine gicla par les trous percés par ses griffes acérées.
— MMMIIIIIaaaaaaaOOOOOUUUUaaaaaaaaWWWWW !
Non, c’est pas Crado Cat qui a miaulé ce cri, mais BB-lilith, debout sur son kart, les bras levés.
Sandra : Elle nous fait quoi, là ?
Enilis : Aucune idée.
Aeryn Sun : Boouuaarrrkk… beeuuuoouurrrkkkk… l’est dingue… boouuueeeeuuurrrkk…
BB-lilith bondit de son kart qui venait de stopper net à dix mètres des chats, un saut de six mètres de haut, Crado Cat et ses minettes avaient dégainé et rafalaient, BB-lilith arriva vers eux, passant entre les balles comme une plongeuse, le corps allongé en carlingue de fusée, tournant sur elle-même, les bras tendus en avant, roula sur la pelouse au milieu de la meute surprise, tendit sa jambe droite et faucha toutes les pattes dans plusieurs moulinets ultra speed.
Crado Cat et ses minettes valdinguèrent dans l’air et se ramassèrent sur le sol, les tronches amochées, les pattes de traviole, paumant leurs guns dans l’herbe.
Les trois autres RE girls n’en croyaient pas leurs mirettes.
BB-lilith dégaina un gun et plaqua le canon direct entre les deux zieufs de Crado Cat qui reprenait ses esprits, tandis qu’elle braquait l’autre sur les chatounettes plus ou moins groggy.
— Bon, écoute bien, qu’elle lui balança, toi et ta bande de minettes dégénérées vous vous cassez vite fait, parce qu’on a pas que ça à faire, vous retournez à vos poubelles, OK ? ALLEZ ! VOUS LAISSEZ VOS FLINGUES ET VOUS VOUS BARREZ !
Les Pussies Kätzchen s’éloignèrent à contrecœur, lorgnant par-dessus leurs dos.
BB-lilith invita Crado Cat à les rejoindre, ce qu’il fit, la queue entre les pattes, les oreilles écrabouillées par la chute.
Sandra : Ben dis donc, Lilith, j’en reviens pas !
Enilis : Ouais, le saut, hallucinant, une vraie panthère.
BB-lilith : Et sans une goutte de sang, z’avez vu ?
Aeryn Sun : Boouuuaaarrrkkkk… génial… boouueeeuuuaaarrrkkk…

Nancy serra les poings et cracha, la rage au rouge à lèvres :
— Espèce de sale corbac ! Je croyais qu’on avait fait un deal ?
— Ouais, répondit Clac-Clac, accroché au rebord de la fenêtre de la chambre de la villa de Nancy, mais il manquait samedi.
— Quoi ?
— C’était sept petites culottes, pas six. Une était pas du lot. J’ai pas apprécié la magouille. Allez, ciao !
Et il s’envola dans un battement d’ailes.
Dehors, la bande corbeaux le suivit, après avoir ravagé le jardin et détruit les nains de jardins en plastique.
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Messagepar Aeryn Sun » 27 Déc 2006, 17:51


:lol: :lol: :lol: :lol: toujours aussi excellent Blue!
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Messagepar Enilis » 27 Déc 2006, 19:18


Sunny a tout dit :D toujours aussi crunchik ^_^
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Messagepar BB-lilith » 28 Déc 2006, 18:46


J'adoore toujours autant !!! :-)

sinon pour la haine c’est fastoche, rien que de penser à une bouteille que je peux pas siffler, j’ai déjà les neurones en ébullition de massacre.

Lol le seuvrage de Sunny !

Sandra : Ben dis donc, Lilith, j’en reviens pas !

En fait pour tout avouer, moi non plus, lool !!



Trop bon tout ca Blue ! Continue, c'est génial ;-)
Il me restera toujours mes rêves pour réinventer le monde qu'on m'a confisqué ...
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Messagepar Sami » 28 Déc 2006, 19:29


trop bien mon Phantom!!!toujours ton style aussi...stylé!!j'tadore toujours autant... :love: :love: :love:
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Messagepar Phantom_Blue » 06 Jan 2007, 19:14


Episode 15

Les tours et le donjon de l’Académie se dessinaient dans la nuit claire. Des fenêtres brillaient au rez-de-chaussée. Devant les grilles, des grands bus jaunes embarquaient les élèves.
Sandra : J’espère qu’il est encore là.
Enilis : Ben sinon on file chez lui, la mère Gwendo doit avoir son adresse.
BB-lilith : Quel suspense ! On va peut-être enfin voir Charly !
Aeryn Sun : Et on fait quoi alors si c’est lui ?
Sandra : On l’attache par les pieds en slip derrière un kart et on le trimballe dans le parc.
Enilis : Ouais, trop bien, ou alors on le recouvre de confiture à la fraise et on le balance dans une fourmilière.
Sandra : Ouais, après l’avoir trimballé dans le parc. Trop crunchique !
Aeryn Sun : Vous emballez pas trop vite ! Il faut d’abord être sûre que c’est Charly.
Sandra : Ben on compte sur toi.
Dans un des bus, Valérie plaqua son nez contre la vitre et cria à Carole et Elisa :
— Wouah ! Les RE girls qui passent en karts !
— Ouais ? qu’elles s’écrièrent les autres en se collant aux vitres.
— Trop la classe ! chantonna Elisa. J’ai hâte d’être une RE girl.
— Z’avez vu ? dit Carole. Elles n’ont pas de petites culottes à leurs antennes !
— Ah ouais ! fit Valérie. C’est peut-être des zombies qui les ont bouffées !
— Les zombies, ils bouffent les petites culottes ? demanda Elisa étonnée.
— Ben oui, répondit Valérie, ils bouffent tout, même les couettes !
— Wouah ! s’exclama Elisa. Trop de la balle ! J’ai hâte d’être à Racoon City !
Et le car démarra.

Nos quatre héroïnes déboulèrent en trombe dans le standard.
La mère Gwendo lorgnait des hommes bodybuildingués dans un magazine en dégustant des marshmallows.
— Où est monsieur Richard ? qu’elle demanda, Enilis.
La mère Gwendo leva ses lorgnons d’un black aux biceps gonflés par les anabolisants, le dentier mâchouillant un marshmallow, et articula :
— Dans la salle des professeurs, je suppose.
Elles sprintèrent dans le couloir.
— J’espère qu’on arrive à temps, souffla Sandra.
La porte de la salle des profs s’ouvrit et Irma Strobowitch sortit en training rouge, des baskets kitsch avec des lumières clignotantes autour des semelles.
— Tiens la petite bécasse ! qu’elle lança en voyant Sandra.
— Grrrrrrr ! fit Sandra en stoppant net devant elle. J’ai horreur qu’on m’appelle la petite bécasse !
— Bon, dit BB-lilith, on te laisse régler ça. Tu nous rejoins.
Et elle fonça dans la salle, suivie d’Enilis et Aeryn Sun.
La prof d’allemand, une grande blondasse en mini tailleur rouge, ferma son casier et sortit de la salle.
Un homme plutôt grand en chemise et jeans blue délavé se tenait devant la machine à café.
— C’est peut-être lui, murmura BB-lilith en s’arrêtant au milieu de la salle, imitée par les deux autres. Sunny, fais gaffe à son ongle !
— Ben à part lui y en a pas d’autres, répondit avec la même voix basse Aeryn Sun.
Enilis se pointa dans son dos et lança :
— Monsieur Richard ?
— Oui ? dit l’homme en se retournant.
Le look de Johnny Deep dans Pirate des Caraïbes croisé avec celui de Keanu Reeves dans Matrix, des petites lunettes rondes sur le nez, une moustache et un bouc.
— Euh, bafouilla Enilis.
Elle se tourna vers Aeryn Sun qui s’était avancée et louchait sur sa main droite tenant une tasse avec du café fumant dedans.
Aeryn Sun fit oui de la tête.
Enilis changea d’expression. Les traits de son visage se durcirent. Ses couettes roses pointèrent comme des couteaux.
— Ça va, vous êtes démasqué, tonton Charly !
— Pardon ? demanda monsieur Richard, surpris.
— On sait que c’est vous, Charly !
— Vous devez vous tromper, répondit monsieur Richard d’une voix très calme. Je ne suis pas le célèbre Charly.
— Ouais, c’est ça, crachota Enilis, les poings sur ses hanches, arrêtez votre cinéma ! On sait tout !
Monsieur Richard esquissa un petit sourire.
— Je vous assure, je ne suis pas Charly.
Enilis expliqua pour l’ongle. Puis le toisa du regard.
— Ah ça ! s’exclama doucement monsieur Richard. Je sais, Charly a le même. Vous n’êtes pas la première à me faire la remarque. En fait, si vous regardez bien, il s’agit d’un onguelcing très courant.
— Hein ? gargouilla Enilis. Un quoi ?
— Oui, un ongle piercing, si vous préférez. Regardez de plus près. Vous voyez qu’il s’agit d’un ajout en nacre. C’est très à la mode en ce moment.
Enilis loucha l’ongle, les mirettes à dix centimètres.
Derrière elle, Aeryn Sun et BB-lilith scannaient elles aussi l’ongle, les zieufs gonflés en loupe.
— Ben euh, bafouillota Enilis, complètement larguée, je… je… excusez-moi… gasp…
Monsieur Richard lui sourit.
— Je sais, vous aussi vous rêvez de connaître Charly. Peut-être un jour se révélera-t-il au grand jour.
Sandra gicla dans la salle des profs, le tee-shirt légèrement froissé, les couettes de traviole, et gueula :
— Alors ? On l’attache en slibard derrière le kart ?
Enilis l’attrapa par le bras et l’entraîna vers la sortie.
— Ben quoi ? demanda Sandra déboussolée. C’est pas lui ?
Dans le couloir, Irma Strobowitch et la prof d’allemand gisaient sur le carrelage, plutôt amochées.
— Ben ouais, se justifia Sandra, elle s’en est mêlée.
— Toi alors, t’en rates pas une, dit Enilis.
Elle lui résuma pour monsieur Richard.
Les deux autres les rejoignirent.
— Wouah, gloussa BB-lilith, il a du charme, je prendrais bien des cours particuliers.
— Je te retiens, Sunny ! cracha Sandra en lançant un regard plein de foudre à Aeryn Sun.
— Ben écoute, qu’elle bafouilla, je pouvais pas deviner.
BB-lilith se campa devant les filles et jacta :
— Une minute ! J’ai une idée !

Les flammes des bougies posées sur le sol, au milieu de la pièce, dansaient dans la pénombre.
Assises autour dans la position du lotus, nos quatre RE girls, les yeux fermés, respiraient doucement. Les ombres de leurs corps tremblaient sur les murs.
BB-lilith : Faites le vide dans votre esprit ! Ne pensez plus à rien !
Sandra : Tu crois que ça va marcher ? On va avoir des prémonitions ?
BB-lilith : Enlève tes pensées de doute ! Laisse la puce s’activer !
Enilis : Chuuuuut !
Sandra : Excuse !
Aeryn Sun : Hips ! Pardon !
Enilis : T’as picolé ?
Aeryn Sun : Non, j’te jure, c’est un réflexe psychologique.
Enilis : Ben j’espère.
Sandra : T’as intérêt, sinon je te tire-bouchonne les couettes !
Enilis : Hi hi hi.
BB-lilith ! Silence ! Grrrrrr ! Fixez les flammes des bougies maintenant !
Elles ouvrirent leurs yeux. Regardèrent les flammes qui oscillaient. Les secondes défilaient. Un silence pesant flottait autour d’elles.

Un flash blanc inonda toute la pièce. Un flot d’images déferla en hologrammes dans l’air. Un bruit de cyclone ronfla, un vent puissant agita les huit couettes roses, souffla les flammes des bougies. Et tout disparu en une fraction de seconde, aspiré dans le néant.

Sandra : Ben ça alors ! J’en reviens pas !
Enilis : Ouais, trop dément !
BB-lilith : Je savais que ça marcherait. Alors, les filles ?
Sandra : Lilith, t’es trop la meilleure.
Aeryn Sun : Ben même moi j’ai vu. Comment t’as su qu’il fallait faire ça ?
BB-lilith : Une petite intuition. Bon, je pense que vous savez ce que vous avez à faire.
Enilis : Ouais, j’ai mon parcours gravé dans ma mémoire.
Sandra : Moi aussi, j’en reviens toujours pas.
Aeryn Sun : Moi aussi je sais ce que j’ai à faire.
BB-lilith : Bon, ben alors, on attaque et on se retrouve après au Zombie Bar.

Les filles sautèrent dans leurs karts, foncèrent vers la ville, et une fois le pont suspendu passé, elles se séparèrent, chacune prenant une direction différente.

Enilis fila le long d’un boulevard, les guns vissés dans ses mains, le kart en pilotage automatique. Elle savait exactement le nombre de coups à tirer et dans quelle direction. A l’autre bout des balles, des monstres et autres goules éclataient dans des gerbes de sang. Parfois elle empoignait le bazooka, d’autres fois elle balançait des grenades.
Vingt minutes plus tard, elle avait nettoyé le secteur ouest.
— A nous deux maintenant ! qu’elle niarka, les quenottes à l’air.
Elle fonça droit vers la station d’épuration dont la tour dominait cette partie de la ville. Stoppa le kart près du portail fermé éclairé par un réverbère. Loucha un bref instant sur la pancarte « Interdit au public ». Sauta par-dessus le portail avec la souplesse d’une panthère. Atterris de l’autre côté.
Des veilleuses ornaient la façade imposante du bâtiment. Elle longea un mur. A sa droite, la rivière charriait les déchets de la ville, qui atterrissaient contre une grille d’une trentaine de mètres. Une pelle métallique articulée avançait sur un rail le long de la grille dans un bruit métallique, plongeait dans l’eau noire, retirait les déchets, les balançait dans une rigole, que l’eau courante entraînait de l’autre côté dans un bassin.
Elle repéra une ouverture en hauteur, à quatre mètres, protégée par une grille. D’un bond elle se retrouva sur le rebord, empoigna la grille, l’arracha sans effort, la jeta en bas dans l’herbe, et entra dans une salle baignée par la lumière diffuse de néons plafonniers.
Des ronflements d’eau lui parvenaient de plusieurs grandes cuves garnies de tuyaux aux allures d’anacondas.
Elle emprunta un couloir, ouvrit une porte au bout, et s’engagea dans l’escalier en colimaçon de la tour. Un clair de lune soudain passa à travers des meurtrières disposées tout au long de la montée, éclairant les marches en pierres usées.
Si à ce moment un caméraman japonais de « Takeshi A l’assaut du château » l’avait suivie, il aurait zoomé sur son shorty en tirant une langue jaune saliveuse.

Le magicien d’Oz se tenait debout en haut sur la grande plate-forme circulaire, devant la balustrade. Il contemplait les lumières de la ville. Sa cape rouge flottait doucement sous une brise légère. Son ombre s’étirait démesurée sur le sol sous la vive clarté lunaire.
— Salut Zozo ! envoya Enilis.
Le magicien d’Oz sursauta et se retourna face aux deux canons des guns braqués sur lui.
— Enilis ? qu’il articula d’une voix grave déformée par son casque intégral. Comment as-tu fait pour me trouver ?
— Je suis une fille très persévérante.
— Si tu l’étais aussi au lycée, tes notes seraient meilleures. C’est pas fameux en physique.
— Non mais de quoi tu te mêles ? Et puis comment tu sais pour mes notes ?
Le magicien d’Oz égrena un petit rire de chacal.
— Dis donc, t’es pas très courageuse de me menacer avec tes revolvers. Plutôt facile, non ?
Enilis sentait le piège venir, mais elle savait qu’elle avait des ressources exceptionnelles.
— Ok, dit-elle en rengainant ses guns.
Elle dénoua les lanières de ses holsters, déboucla son ceinturon et le laissa tomber sur le sol.
Un nouveau petit rire perfide jaillit du casque.
— Tu crois que tu es de taille, ma puce ?
— Je suis pas ta puce, et tu risques d’être surpris.
Deux lames de quarante centimètres à double tranchant jaillirent des manches du magicien d’Oz. Etincelantes sous la lune.
— Je vais t’apprendre à rester à la maison et à faire tes devoirs.
— Tu commences à me les pomper, Zozo.
Il avança vers la RE girl, les lames fauchant l’air en moulinets, dans des sifflements menaçants.
Enilis recula jusqu’à un mètre de la balustrade, en fixant la visière miroir de son casque.
— Je vais te couper tes couettes, ma jolie !
D’un bond, Enilis sauta sans se retourner en arrière sur la balustrade, debout en équilibre le dos face au vide.
— Je savais pas que tu étais si sportive, dit le magicien d’Oz, mais ça ne te sauvera pas.
Deux mètres le séparaient de la RE girl. Il braqua les deux pointes des lames à moins de dix centimètres de ses jambes.
— Je crois que je vais te faire voler. Ce sera plus marrant, tu ne trouves…
Il n’eut pas le temps de terminer sa phrase, Enilis bondit par-dessus lui, asséna au passage un coup de rangeo sur son casque, retomba derrière lui, agrippa sa cape et la tira avant de sauter sur le côté.
Déséquilibré, le magicien d’Oz tomba en arrière, mais avant de toucher le sol, Enilis sauta par-dessus lui et noua sa cape plusieurs fois autour de ses poignets.
Son dos percuta le sol en pierre de la plate-forme.
D’un geste sec, elle lui fit lâcher ses deux lames, qui s’envolèrent dans l’air. Elle les rattrapa par leurs manches avec sa main gauche, sa main droite tenant toujours fermement la cape.
— Damned ! maugréa le magicien d’Oz.
Enfin d’un geste précis, elle trancha les attaches du casque sous le menton, et le dégagea de la tête du magicien d’Oz d’un coup de pointe dans la visière. Il roula sur le sol dans un bruit de casserole.
Elle lâcha la cape et recula, effarée, avant de s’exclamer :
— Papa ? Mais qu’est-ce que tu fous dans mon jeu ? Bordel, je peux pas avoir un peu de liberté ? C’est trop te demander ? Arrête de me pourrir la vie, ça me fera des vacances !
Le magicien d’Oz dégagea ses poignets de la cape et se releva.
Il dévisagea sa fille. Un petit sourire narquois étira ses lèvres.
— Allez, à la maison. T’as des devoirs faire. Et que ça saute. Je le répéterai pas.
— Tu sais quoi, papounet chéri ? dit Enilis.
— Quoi ? qu’il demanda.
Elle tournoya sur elle, la jambe droite tendue, la semelle de sa rangeo claqua sec dans les mâchoires du magicien d’Oz, il s’envola par-dessus la balustrade en criant, et s’écrasa soixante mètres plus bas dans un bruit de tôle fracassée.
— Bon réveil, lança Enilis du haut de la tour. Je te raconte pas la migraine que tu vas avoir. Hi hi hi !
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Messagepar Babou » 06 Jan 2007, 21:40


Quelques extraits en faisant court sinon on en sort plus.
J'adore la description de Monsieur Richard :)
<< Le look de Johnny Deep dans Pirate des Caraïbes croisé avec celui de Keanu Reeves dans Matrix, des petites lunettes rondes sur le nez, une moustache et un bouc. >>
Et aussi l'ongle piercing très à la mode.
<< Aeryn Sun et BB-lilith scannaient elles aussi l’ongle, les zieufs gonflés en loupe. >>
Puis, un classique je dirai.
<< Aeryn Sun : Non, j’te jure, c’est un réflexe psychologique. >> :D
Et ça .... aux allures d'anacondas
<< ... les cuves garnies de tuyaux aux allures d’anacondas. >>
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Messagepar BB-lilith » 07 Jan 2007, 17:48


Trop bon comme toujours Blue ;-)

Un flash blanc inonda toute la pièce. Un flot d’images déferla en hologrammes dans l’air. Un bruit de cyclone ronfla, un vent puissant agita les huit couettes roses, souffla les flammes des bougies. Et tout disparu en une fraction de seconde, aspiré dans le néant.
Intéressante cette petite séance de spiritisme :P

Elle lâcha la cape et recula, effarée, avant de s’exclamer :
— Papa ? Mais qu’est-ce que tu fous dans mon jeu ?

MDR ! J'en reviens pas, j'y aurais jamais pensé !! :lol:
Il me restera toujours mes rêves pour réinventer le monde qu'on m'a confisqué ...
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Messagepar Aeryn Sun » 08 Jan 2007, 17:45


Si à ce moment un caméraman japonais de « Takeshi A l’assaut du château » l’avait suivie, il aurait zoomé sur son shorty en tirant une langue jaune saliveuse.

:mdr: :mdr:

c'est excellentisime Blue :P hips :00: dsl :lol:
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