Une nuit d'enfer


Laissez aller votre imagination et faites-nous part de vos histoires, poèmes...

Modérateurs: Phantom_Blue, Co Admin, Bigs Moderaiders

Messagepar Aeryn Sun » 20 Nov 2006, 19:37


Un perle cette histoire :P toujours autant d'imagination et de bons dialogue. Continue à nous faire rire.
Aeryn Sun

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Messagepar Phantom_Blue » 08 Déc 2006, 10:41


Episode 12

Des centaines de ratos, les plus gros, de la taille de phacochères, creusaient speed à coups de dents nerveux, enfonçant leurs incisives démesurées comme des socs de pioche dans la terre, d’autres ratos derrière eux la dégageaient avec les pattes et la faisaient rouler hors du tunnel.
Campés pas loin dans le tunnel, Cromwell et bebe big boss suivaient les opérations.
— Mais tu es sûr que c’est dans cette direction ? demanda Cromwell.
— T’inquiète pas, répondit bebe big boss, l’Académie se trouve au nord-ouest à l’écart des villes. C’est un corbeau qui m’a filé le plan contre un lot de petites culottes.
Trois cent mètres de tunnel plus loin, bebe big boss cria :
— Stop ! C’est ici ! Maintenant creusez en pente vers le haut !
Les ratos exécutèrent l’ordre, et après une montée d’une trentaine de mètres, l’un d’eux lança :
— On vient de tomber sur une masse bizarre. Ça a un goût de citrouille. Oui, c’est de la citrouille.
— Parfait, s’enthousiasma bebe big boss, ça doit être le jardin de l’Académie. Continuez !
Cromwell louchait vers le haut, ses globes oculaires rouges visualisant déjà les gamines croustillantes bossant en petites culottes dans les mines de fromages.
— Ça y’est, on y est ! dit un ratos. On a percé.
— Alors ? demanda Cromwell.
— Y’a un farfadet, et il se trouve dans un réduit étroit.

La porte s’ouvrit énergique et quatre RE girls débarquèrent en trombe dans le hall. Britney Spears, Christina Aguilera, Beyoncé et Pink. Dans la nouvelle tenue de Charly ! Les lolos dégorgeant des brassières et les fesses débordant des petites culottes !
— Tiens, lança Britney en apercevant nos quatre héroïnes, vous pouvez dire adieu à la place number one ! On vient de nettoyer notre ville en un temps record ! Au fait, vous êtes encore en shorty ? Evidemment, il faut être bien foutue pour porter la nouvelle et merveilleuse tenue imaginée par notre génial Charly !
— Grrrr ! grigrillèrent les filles, les couettes commençant à taper le solo de batterie d’Highway to hell d’ACDC.
— Ouais, poursuivit Pink, quand les zombies ont vu ma petite culotte, ils se sont mis à genoux pour que je les flingue. J’ai enregistré un 145/minute. (En fixant Sandra :) Désolée, ma vieille, mais t’es plus dans le coup !
— Grrrrrrrr ! qu’elles grigrillèrent, les doigts frôlant les crosses de leurs guns.
— C’est nous les meilleures, gloussa Christina. Normales, super sexy, super douées ! C’est sûr, à force, l’alcool et le kif, ça ralentit le cerveau et les réflexes !
— Grrrrrrrrrrrrrrrrrrr !
Un trémoussement de dance R’N’B agita le corps de Beyoncé. Ses lolos faillirent s’éjecter de sa brassière. Un regard de défi hautain et méprisant avait accompagné la chorégraphie.
— GRRRRRRRRRRRRRRRRRRR !
Tout se passa alors à une vitesse fulgurante.
Les quatre rangeos droites de BB-lilith, Enilis, Aeryn Sun et Sandra se levèrent en même temps, comme dans un ballet du French Cancan, et se logèrent costaud dans les quatre entrecuisses de Britney, Beyoncé, Pink et Christina.
— OUUIIIP ! qu’elles glapirent comme des souris, les lolos chahutés vers le haut, les zieufs révulsés.
Elles roulèrent sur le carrelage, les mains plaquées sur les berlingots en couinant.
— Ça vous va comme réflexes ? demanda Aeryn Sun.
— Ouais, continua Enilis, et z’avez de la chance, parce que dans le coup de boule on est encore plus rapides.
— Ouais, envoya BB-lilith, et ma petite sœur elle fait pipi plus vite que vous… euh… pas trop le top la réplique là…

Une fois dehors, Sandra éclata en sanglots.
— Boooouuuuuuu…
— Mais enfin, s’étonna BB-lilith, quoi qui se passe encore ? C’est à cause de ses pétasses ?
— Boouuuu… oui… booouuu…
— Mais elle frimait avec son 145/minute ! bomba Enilis. Elle arrive même pas à tenir un rouge à lèvre correct ! Laisse tomber, elles ont eu leur compte !
— Boouuu… mais nan… booouuu…
— Ben quoi alors ? demanda BB-lilith.
— Z’avez vu ?… booouuuu… toutes ensemble unies synchro, qu’on était… booouuuu… c’était trop beau… booouuuuuu…
— Mais on est unies pour toujours, qu’elle chanta, Enilis, en la prenant dans ses bras. Pourquoi, tu en doutais ? Tu vas voir, on va leur montrer de quoi on est cap.

Dans le parcours du combattant, une classe de gamines s’entraînait à franchir les obstacles en baskets, shortys et maillots imprimés d’un grand C rose.
Madame Irma Strobowitch, la prof de sport, une ancienne gardienne de goulags, boostée aux anabolisants, les bras tatoués de motifs dead punk, rythmait strident les exercices avec un sifflet en si double dièse (en ré bémol, quoi, mais ça fait moins aigu).
Une autre classe se baladait en jupettes plissées dans l’immense labyrinthe, le but étant d’éviter des gremlins voraces dressés à dévorer les petites culottes (cet exercice demandant des réflexes particulièrement rapides, a été inventé par Charly pour donner du ressort aux gambettes des futures RE girls).

Les filles se talèrent sur leurs karts, et après une marche arrière vrombissante, franchirent plein gaz les grilles qui s’étaient ouvertes.
Et elles quittèrent l’Académie, Sandra en tête, suivie d’Enilis et BB-lilith, Aeryn Sun fermant le groupe.
Sans faire attention aux cinq chiens qui casse-dallaient les pizzas sur le bord de la route.
Cerbère leva sa tête droite, pendant que la gauche s’empiffrait, loucha les karts qui disparurent au bout de la rue. Balança à son autre tête :
— Je crois qu’elle vient de sortir.
— M’en fous, qu’elle répondit entre deux bouchées, sa tête de gauche, c’est pas moi qui suis amoureux d’elle.
— Grraaoouurrr ! grogna méchant la tête de droite.
Et sous les yeux et le sphincter étonnés des quatre clébardes, Cerbère se livra à un dialogue soutenu, ses deux têtes s’aboyant féroces au ras des museaux.

BB-lilith : Hé, les filles, vous avez vu, elles n’avaient pas de guns ?
Sandra : Ah ouais ! J’avais même pas fait gaffe !
Enilis : Normal, avec les jupettes, ça n’irait pas.
Sandra : Ben alors, comment elles font ?
BB-lilith : Aucune idée. Ça doit être dans le mode d’emploi de la nouvelle tenue.
Sandra : Peut-être que c’est des mini guns, planqués je sais pas où.
Enilis : Nan, mais, le Charly, c’est quand même un obsédé de la petite culotte.
Sandra : Ouais, à donf. Z’avez vu la secrétaire ? Pendant qu’on se casse le soutif à nettoyer les villes, il se paye du bon temps dans son fauteuil à crac-crac.
BB-lilityh : Faudrait arriver à savoir où il se cache, et débarquer par surprise.
Sandra : Ouais, on lui secouerait les puces. Saperlipopette ! Mais comment faire pour le trouver ?
BB-lilith : Hé, Sunny, tu dis rien ?
Aeryn Sun : Gloups… euh… j’avais une petite soif… purée !… Mais oui !…
Sandra : Quoi ?
Aeryn Sun : Je crois que je l’ai déjà vu.
Sandra : Hein ?
Enilis : T’as déjà vu Charly ?
Aeryn Sun : Oui.
BB-lilith : Tu déconnes, là ?
Aeryn Sun : Ben non.
Enilis : Et c’est seulement maintenant que tu nous le dis ?
Aeryn Sun : Ben je viens juste de m’en rappeler.
Sandra : Purée, c’est pas vrai, j’hallucine. Saperlipopette !
Enilis : C’est le mec des toilettes ?
Aeryn Sun : Non.
Sandra : Quel mec des toilettes ? T’étais dans les toilettes des mecs ? Où ?
Aeryn Sun : Ah oui, c’est vrai, t’es pas au courant. Ben voilà… bla bla bla… et bla bla bla…
Sandra : Saperlipopette !
Enilis : Ouais, OK, vive l’amour, mais pour Charly ? Putin, raconte !
BB-lilith : Ouais, crache l’ovule !

Aeryn Sun : Ben c’est un prof auxiliaire.
Sandra : Un prof auxiliaire ?
Enilis : Comment tu sais ça ?
Aeryn : Une fois j’étais assise sur les marches du grand escalier à l’Académie, j’avais un peu picolé. Quand y a un gars qui descend l’escalier et passe à côté de moi. Au même moment, y a la mère Gwendo qui se pointe et lui dit qu’il a une classe à 23 heures, la prof d’allemand avait la crève.
Sandra : Ouais, et alors ?
Enilis : Comment tu sais que c’était Charly ?
Aeryn Sun : A l’ongle droit de son pouce, quand il est passé, j’ai vu sa main. Il a une forme spéciale. Je l’avais remarqué une fois sur l’écran pendant une communication. J’ai bossé comme manucure à un moment, je sais de quoi je parle.
Sandra : T’as bossé comme manucure ? Tu nous avais pas dit ? Tu peux me conseiller pour un vernis à ongle sexy qui plairait à Kisshu ?
Enilis : Purée, Sandy, on parle de Charly, là ! Et il ressemblait à quoi ?
Aeryn Sun : Ben je l’ai vu de dos, il est plutôt grand, et d’après la conversation, c’est un prof remplaçant.
Enilis : Ah ouais, purée, il joue les profs aussi. Sûrement un autre de ses fantasmes.
BB-lilith : Et c’est maintenant que tu nous dit ça ?
Aeryn Sun : Ben j’avais jamais fait le rapprochement avec l’ongle, et puis j’avais oublié. Et là tout m’est revenu.
BB-lilith : Ben arrête de picoler, un jour tu vas plus te rappeler comment mettre ta petite culotte.
Aeryn Sun : Euh… ça m’est déjà arrivé.
Enilis : Bon, on retourne à l’Académie et on le coince.
Sandra : Ah nooon ! Pas tout de suite ! On nettoie d’abord notre ville ! Après on revient ! De toute façon il s’envolera pas ! Y aura qu’à consulter la liste des profs remplaçants ! Hééé ! Au fait, t’as son nom ?
Aeryn Sun : La mère Gwendo l’a appelé monsieur Richard !
Enilis : Purée, mais t’es sûre, Sunny ?
Aeryn Sun : Un peu, oui, là c’est clair comme de l’eau de roche.
BB-lilith : Parle pas d’eau, ça fait bizarre dans ta voix.
Les filles rigolèrent à pleines dents.
Enilis : Hep ! Mais oui ! Monsieur Richard, Charly ! Puuutiiiiin !
Sandra : Wouah, Nini, t’assures trop dans tous les sens là !
BB-lilith ! Monsieur Richard alias Charly, ça va chauffer pour votre matricule !
Sandra : Et pas que votre matri !
Les filles rigolèrent tellement que des agrafes de soutifs lâchèrent.

Une fois le pont suspendu passé, et quelques rafales envoyées pour dégager des mouettes carnivores aux becs garnis de crocs, nos RE girls filèrent vers le centre ville.
Quand les mémés de la mort surgirent de toute part dans leurs fauteuils roulants à turbo réaction, avec leurs chignons grisonnants bardés d’aiguilles à tricoter, leurs mentons en galoches poilus, et leurs cannes foudroyantes à 100 000 volts.
BB-lilith : Alerte, y a tatie Tranxene et son gang de pétroleuses ! Elles nous encerclent !
Sandra : Enfin de l’action ! Elles vont gerber leurs biscottes !
Les quatre filles freinèrent brutal, vu que le gang leur bloquait toute issue.
Hyper speed, Enilis dégaina trois secondes avant les autres, plaça en même temps son kart sur le mode tournoyant, et pendant qu’il tournait sur lui-même comme une toupie (normal, c’est le mode tournoyant), elle rafala à 360° sous les yeux hallucinés de Sandra et de BB-lilith, et les yeux léger brouillardeux d’Aeryn Sun.
La quinzaine de mémés éclata sous les bastos, les chignons arrachés, les nichons désiliconés, les gaines culottes criblées, des bras disloqués, des pantoufles avec des bouts de pieds valdinguant dans l’air.
Il ne resta bientôt plus que quinze fauteuils roulants, couverts de goulache et de blood, certains propulsés en arrière par la puissance du feu, d’autres renversés sur la route.
Plusieurs dentiers retombèrent sur la route avec des clacs sonores.
Tandis que tatieTranxene, en retrait, pas folle la guêpe, se barrait plein gaz en gueulant :
— Bande de sales petites vipères, je vous aurai la prochaine fois !
Sandra : Wouah, Nini ! Ben dis donc !
BB-lilith : Purée, là je suis sciée !
Aeryn Sun : Ben comme au tir avant, t’es devenue la plus rapide !
Sandra : Comment ça, au tir avant ?
Aeryn Sun : Hein ? Euh… ben… gasp…

Debout dans son kiosque au volet baissé avec la pancarte CLOSED dessus, la mère Mouftard enfila un grand slibard en acier flexible doublé de polypropylène pour bouclier anti-émeutes sur son fessier de gorilla.
Puis elle plaqua deux maxi bonnets coniques en fer sur sa paire de mamelles proéminentes et agrafa le soutif dans son dos avec cinq attaches de tenders pour vélo.
Elle déroula deux bas résilles en fil de fer de clôture et les clipa avec quatre jarretières modèle pinces à Gégène.
Le temps de s’asseoir, elle plongea ses 52 dans deux bottes plombées à semelles renforcées de pare-chocs brise-burnes.
La robe métal style Paco Rabanne en plaquettes de titane fut enfilée dans un ramdam de ferraille.
Elle ajusta un casque romain à houppette rouge et à visière national socialiste sur le ciboulot.
Empoigna un FM à quadruple canons de 2 m et quadruple chargeurs (garnis de bastos longues comme des suppos d’éléphants), terminé par une crosse usée par les têtes de zombies écrabouillées, l’arme pesant pas loin de 27 kilos, et aboya, les molaires dressées dans le goulot :
— Ça va chauffer ! D’abord la petite pouffe, puis Cerbère !
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Messagepar Aeryn Sun » 08 Déc 2006, 11:47


Quel extase Phantom_blue je suis ravie :P


Les filles rigolèrent tellement que des agrafes de soutifs lâchèrent. :lol: :lol:


— Ça va chauffer ! D’abord la petite pouffe, puis Cerbère ! ho que oui que ça va chauffer! :D
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Messagepar BB-lilith » 08 Déc 2006, 19:17


Zut, je trouve les épisodes toujours trop courts ! Lool ! J'suis trop gourmande !

Les quatre rangeos droites de BB-lilith, Enilis, Aeryn Sun et Sandra se levèrent en même temps, comme dans un ballet du French Cancan, et se logèrent costaud dans les quatre entrecuisses

*Ben tiens, c'est nous qu'on est les meilleures quoi !

Les filles rigolèrent tellement que des agrafes de soutifs lâchèrent.

Trop bon ! J'imagine bien la scène !
Il me restera toujours mes rêves pour réinventer le monde qu'on m'a confisqué ...
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Messagepar Phantom_Blue » 16 Déc 2006, 11:16


Épisode 13

Affalé sur le canapé en forme de tomate, Kisshu s’envoya une bonne rasade d’alcool de citrouille à 45° entre ses oreilles pointues et cracha :
— Ouais, y en a marre des nanas, elles sont jamais contentes, elles savent pas ce qu’elles veulent, on se met en quatre, elles trouvent toujours à redire, en plus on en prend plein la gueule. Si je compte toutes les baffes que Sandra m’a filées, sans compter les heures passées dans le placard, et je parle même pas de la gnole que je suis obligé de planquer, et interdiction de cloper, bonjour la love story !
Il tira une taffe sur un pétard au maïs.
Bebe big boss, talé à coté de Kisshu, une bouteille entre ses gros petits doigts boudinés, avala plusieurs gorgées, rota sec et gargouilla :
— Les filles, elles sont juste bonnes pour le lolo et changer les couches-culottes. Sorties de là, elles passent leur temps à dépenser le fric des mecs pour les fringues à la mode, et à discuter des heures au portable pour raconter leurs conneries en explosant le forfait.
— Le harem, crachota Cromwell après avoir ingurgité une lampée de gnole, c’est le seul moyen pour les dresser correctement, et si elles mouftent, une bonne mandale dans les dents pour les calmer.
— Ouais, chanta Kisshu, elle va me connaître, la Sandinette, je vais lui apprendre à m’obéir !
Dehors, les ratos sifflaient joyeux la réserve de gnole de Kisshu, soit environ une centaine de bouteilles distillées en cachette et stockées dans un terrier secret.

Pas loin de 2 heures du mat.
Les karts arrêtés au bord d’un trottoir, près d’un parc, les RE girls soufflaient après une série de flingages soutenus.
Etalée sur son siège, les jambes étirées sur la route, Aeryn Sun s’envoya une dernière rasade de rhum blanc et balança la fiole vide, qui ricocha sur le macadam dans un klonk sonore, avant de terminer dans le caniveau.
Sandra rechargea ses guns et les fourra dans ses holsters, après un kiss sur les canons.
Enilis s’était levée et faisait quelques mouvements d’assouplissements, qui se transformèrent en techno dance sauvage.
BB-lilith cligna des zieufs et sombra dans le sommeil, la tête contre le volant.
— Purée Nini, envoya Sandra, t’es trop démente là ! Tu danses comme la déesse Ecstay dans le film « Clito electro » !
Elle se leva à son tour et imita en se tortillant dans tous les sens.
Les couettes roses des deux RE girls flageolaient dans le cosmos.
Aeryn Sun rigola, jeta machinalement un regard vers BB-lilith et s’écria :
— Hé, les filles, y a Lilith qui a un malaise !
Aeryn Sun tenta de se lever, mais suite à un vertige soudain, elle se laissa retomber sur son siège, se pencha côté caniveau et dégobilla copieux.
Sandra se précipita vers BB-lilith et constata avec soulagement qu’elle dormait. Tandis qu’Enilis continuait sa dance, ses yeux en transe, le shorty endiablé.
— Ben alors ? demanda Sandra, après l’avoir réveillée en la secouant. T’as eu un coup de pompe ?
— Purée, articula BB-lilith, il était de nouveau là, sur sa licorne enchantée, et on galopait au-dessus des montagnes et des océans, vers le royaume des fées et des lutins.
— Ben dis donc, chanta Sandra, tu devrais arrêter de mater des films romantiques. Ça va finir par te rendre complètement gaga.
Après plusieurs dégorgeades de morve digestive mélangée au rhum blanc (et autres liquides alcoolisés), Aeryn Sun s’arrêta enfin, s’épongea la bouche d’un revers d’avant-bras, cracha un gros glaviot pustuleux fumant avoisinant les 50°, loucha Enilis, toujours en pleine dance, et largua :
— Purée, Nini, arrête, tu me donnes mal au cœur !
— Je… peux… pas…, répondit Enilis d’une voix secouée, au… secours… aidez… moi…

Ligotée comme une sauciflarde, allongée sur la route, Enilis continuait de se trémousser.
— Elle a dû choper un virus ou un truc dans le genre, dit Sandra.
— Ouais, dit BB-lilith, ou alors c’est peut-être un effet de ses nouvelles capacités.
— Je sais pas, dit AerynSun, mais si ça s’arrange pas, faudra l’amener à l’infirmerie de l’Académie.
Des sifflements soyeux s’amplifiant se firent entendre.
Et une dizaine de clowns surgirent du parc à 80 à l’heure dans leurs godasses taille 75 aux semelles skate-board planant à vingt centimètres du sol.
Des rictus hilarants lézardant leurs grandes bouches maquillées de rouge. Leurs tifs verts bleus et jaunes étirés en arrière. Les costumes bouffants satinés rutilants de couleurs. Leurs gros nez rouges sphériques clignotant stroboscopique.
WOOOOOOOOOOUUUUUUUUUUUUFFFFFFFFFFFFF
Ils passèrent entre les RE girls comme des éclairs et s’éloignèrent, Enilis gigotant sur l’épaule de l’un d’eux, plaquée dans son dos, la tête en bas.
— Ils ont enlevé Nini ! cria Sandra. Vite, rattrapons-les !
Elles sautèrent sur leurs karts et démarrèrent plein gaz.
Sandra : Tiens bon, Nini, on arrive !
Enilis : Oui… grouillez… purée…
BB-lilith : Je prends la tête, les filles ! C’est comme dans Need for speed ! J’excelle à ce jeu !
Aeryn Sun : Vas-y, on te suit, tire-leur dans le derche !… hips… pardon…
Sandra : Nini ligotée et enlevée, Sunny bourrée, ça promet.
Aeryn Sun : Oh ça va, je suis pas bourrée, je suis juste un peu sur vitaminée par les calories fruitières.
Sandra : J’aurais tout entendu.
Enilis : Ça y est, je gigote plus. Purée, j’ai l’impression d’être en chewing-gum.
Et sous les yeux ébahis de ses trois copines, Enilis se contorsionna, plus souple qu’une reptile du power girl s’enroulant autour du cou d’un bouc macho pour lui serrer sa glotte phallocrate, dégagea ses deux bras, dégaina ses guns et rafala les talons du clown.

Il percuta le mur d’un bâtiment. Mais juste avant l’impact, Enilis s’éjecta d’un coup de ventre de son épaule, exécuta un saut avant retourné et retomba sur ses pieds.
Les autres clowns firent volte-face en brandissant leurs longs doigts gantés dissimulant des mini canons à un coup, sans avoir le temps de tirer.
Face aux huit guns des RE girls, un seul réchappa, fonçant pleines godasses dans le sens opposé (forcément, pas fou le frelon).
Les autres éclatèrent sous les balles, les costumes tailladés en lambeaux, les maquillages sanguinolents, les pifs rouges retombant un peu partout dans des bruits de balles de ping-pong.
Enilis en flingua 4, Sandra 3, BB-lilith un et demi, Aeryn Sun l’autre moitié.
— Ben dis donc, Nini, s’exclama BB-lilith, t’es devenue la fille élastique ! Comment t’as fait ?
Enilis débita d’une traite :
— C’est les molécules de mon corps qui sont devenues flexibles pendant les tremblements. C’est un phénomène thermo interne d’instabilité atomique intégrale qui restructure l’enveloppe somatique sur une fréquence vibratoire plus haute que la normale !… Euh… c’est moi qui ai dis ça ?
BB-lilith regarda Sandra, qui regarda Aeryn Sun, qui regarda BB-lilith, qui regarda Aeryn Sun, qui regarda Sandra, qui regarda BB-lilith.
Une atmosphère X Files planait sur notre petit groupe.
— Vous savez quoi ? chanta Enilis en slurpant de la langue. J’ai soudain une envie folle de chocolat !
— Hein ? fit Sandra. Du chocolat ? Ben maintenant que t’en parles, oui, de la Danette au choco ! Super miam !
— Ouais, roucoula à son tour BB-lilith, du choco aux noisettes. Hein Sunny ?
— Je veux, qu’elle répondit, des pralines fourrées à la liqueur, rien que d’y penser j’ai les glandes salivaires en ébullition.
Le temps de ramener Enilis à son kart, elles foncèrent sur la route en poussant des cris hystériques.

BB-lilith rafala à 112,4° (voir avec un rapporteur) et dégagea deux crapouilles poulpeuses scotchées sur un panneau publicitaire représentant une blonde pulpeuse en bikini à quatre pattes (voir l’épisode 10 « En haut de l’affiche » de la 6e saison de Malcolm), une espèce de grosse fouine arachnoïde accrochée à un poteau de Stop, et un raptor rouge qui se pointait d’une ruelle (comme ceux dans le Pacifique de Tomb Raider 3).
BB-lilith : Wouah, les filles, vous avez vu ? Je le crois pas ! Je commence à rafaler divine ! D’hab j’y serais pas arrivée ! C’est Nini qui doit être contagieuse !
Sandra : T’as fait comment ?
BB-lilith : Je sais pas, je pensais à la scène super romantique dans Titanic…
Un deuxième raptor se pointa, loucha son copain étalé sur le macadam, et piqua un sprint hyper speed derrière les karts, et particulièrement celui d’Aeryn Sun, vu qu’elle roulait à l’arrière du groupe.
Aeryn Sun : Aaaaaaaaah !… BANG… BANG… BANG… BANG… BANG… BANG… BANG… BANG…
Sandra : Quoi qui se passe ?
Aeryn Sun : Purée, heureusement que je l’ai senti à son haleine pourrie ! Il a failli me bouffer les couettes ! S’aviez qu’un raptor courait aussi vite ?
Enilis : Hi hi hi.
BB-lilith : Ben si ça vous intéresse pas ce que je dis…
Sandra : Mais si, Lilith, alors, c’est quoi qu’y a dans Pretty Woman ?
BB-lilith : Laisse béton !
Enilis : Hi hi hi.

Les néons diffusaient une lumière vive dans l’usine de chocolat.
Des grandes cuves circulaires bombées en cuivre, reliées par des tuyaux, s’alignaient dans un vaste bâtiment. En hauteur, des passerelles métalliques filaient le long des murs et au-dessus des cuves. Dans un coin, des cartons s’étalaient sur des palettes.
Des cubes de chocolat noir d’un mètre avançaient sur un tapis roulant, et disparaissaient dans une énorme machine garnie de roues et de cadrans.
— Ça tourne et y a personne, s’étonna BB-lilith.
— Peut-être que tout est automatisé, dit Sandra.
— Z’avez vu toutes les sortes de chocolat ? s’exclama Aeryn Sun en montrant un long présentoir contre un mur. Y’a au moins 500 sortes de pralines. Je me demande lesquels sont à la liqueur ?
Elle en prit un, le renifla, croqua dedans et s’écria :
— Yeeeaaaah ! Celui-la est à l’eau-de-vie de cerise ! J’ai toujours un flair infaillible !
Glurps !
Enilis s’empara d’une tablette de chocolat au lait et aux noisettes, déchira le papier et mordit dedans.
Crunch !
— Wouais, s’écria joyeuse Sandra, de la Danette au chocolat ! Et y a même des cuillers en plastique !
Elle attaqua une Danette, la langue électrisée par la crème moelleuse et fondante, vida le pot en six cuillerées et lécha le reste.
Slurp !
BB-lilith mâchonna une barre molle de choco au riz croustillant, les yeux en extase, et articula la bouche pleine :
— Mouais… les filles… grumpf… smouark… dur pour la ligne… mais trop bon…
— Ça va, gargouilla Enilis en slurpant une noisette dans une gangue de choco, on a des fesses de rêve, et la chasse aux zombies ça fait maigrir.

Soudain une voix masculine aux accents fortement germaniques efféminés résonna dans le hangar.
— Bar les lolos laiteux de la grosseu Bertha… Arf… quadreu bedideu residenteu geurletteus merveilleusement dodues à zouhait… Arf…
Le comte Adolphe Ambroise von Suce-Hard se tenait sur une passerelle, vêtu d’un costume en soie scintillante du 18e siècle, une perruque blanche poudrée avec un ruban sur le ciboulot, une canne à pommeau dans la main.
A noter la petite moustache noire carrée sous le nez.
— Tiens, envoya Sandra, monsieur travelo cacao !
Les filles rigolèrent.
— Bedideu imperdinenteu, postillonna le comte, je vais d’abbrendreu la politesseu !… Arf… Heeeiiiiil Choooocooolaaat !
Aussitôt une dizaine de ninjas cagoulés voltigeurs bondirent de tous les côtés, en combinaisons moulantes couleur chocolat blanc très seyantes pour les mouvements sportifs, criant en chœur avec un accent fortement germanique :
— Baaaaaannnnnnzzzzzaaaaiiiiiiiiiieeeuuuuuu !
— Sont pour moi ! cracha Sandra en dégainant ses deux guns.
Les couettes roses dressées en l’air façon antennes de Hiti lubrique captant la channel Porno Pink de Vénus, elle rafala en moulinets croisés pivotants retournés.
Quatre ninjas chopés en plein vol par les bastos furent propulsés contre les cuves. Un ninja grimaça un cri, l’entrecuisse déburné. Deux autres bouffèrent la poussière de chocolat sur le carrelage, les bustes tricotés de boutonnières. Un autre se ratatina contre un tuyau, le dentier plombé.
En resta deux, qui roulèrent en boule derrière des cuves, les combis mouillassées de transpiration.
— Putin, qu’elle grommela, Sandra, d’hab je les rétame tous.
— Ben les ninjas c’est pas évident à flinguer, rassura BB-lilith, t’as quand même fait un super score.
— Je suis sûre que Nini, elle les aurait tous eus, souffla Sandra.
— Meuh non, répliqua Enilis, avant de croquer dans un carré.
Sur la passerelle, le comte gesticula, les dents saliveuses, et se barra à grandes enjambées en braillant :
— Nous nous referrons !… Arf…
— Moi les ninjas, gaufra Aeryn Sun, ça me donne le tournis. Pas dégueu les pralines au schnaps !

Clac-Clac s’ébouriffa le plumage sur le bord du balcon et claqueta du bec :
— Enilis est actuellement dans l’usine de chocolat.
Fantomette jubila, tendit le lot de dix petites culottes au corbeau, qui s’en empara et s’envola.
Puis elle descendit en rappel le long de la façade à l’aide d’un bas super extensible noué à la balustrade, monta sur sa trottinette électrique adossée contre le mur derrière un buisson, et fonça sur la route, son pompon roulant sur sa cagoule, sa cape jaune claquant au vent.

Clac-Clac prit la grande culotte dans son bec et s’éclipsa dans un battement d’aile.
— Ainsi la petite pouffe se trouve dans l’usine de chocolat, grassouilla jouissif la mère Mouftard.
Elle tala son big fessier sur le siège de sa Torpedo fusée, et ajusta des lunettes d’aviateurs à la Mermoz sur ses bigleux.
Les tuyères des deux réacteurs crachèrent des flammes, et la bagnole effilée s’élança sur la route dans un vrombissement de dragster.

Clac-Clac lorgna d’un œil lubrique les sept petites culottes avec imprimées dessus les sept jours de la semaine, et balança :
— Vous la trouverez à l’usine de chocolat.
Et il s’envola speed avec la lingerie coincée dans son bec frétillant.
Nancy se frotta les mains, composa un numéro sur son portable et gloussa :
— Envoyez un fourgon et une équipe à l’usine de chocolat. Je vous faxe la photo de la fille. Attention elle est très dangereuse. Utilisez le filet et les seringues anesthésiantes !

Le derche lâchant des caisses tonnantes et joyeuses, Cerbère cavalait sur le bord de la route, sa tête de droite répétant une nouvelle fois à sa tête de gauche :
— Mais oui, je te filerai tous les os comme promis !
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Messagepar Aeryn Sun » 16 Déc 2006, 12:24


Tip top comme d'hab :P


Le comte Adolphe Ambroise von Suce-Hard se tenait sur une passerelle, vêtu d’un costume en soie scintillante du 18e siècle, une perruque blanche poudrée avec un ruban sur le ciboulot, une canne à pommeau dans la main.

Wouaaaaaaah!!! sexy le mec :lol:
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Messagepar BB-lilith » 16 Déc 2006, 14:32


J'ai adoooré :P

Enilis s’était levée et faisait quelques mouvements d’assouplissements, qui se transformèrent en techno dance sauvage.

Loooool, nawak !!!


— Yeeeaaaah ! Celui-la est à l’eau-de-vie de cerise ! J’ai toujours un flair infaillible !
Glurps !


Hé ben, faut croire que oui, son flair est infaillible !!
Il me restera toujours mes rêves pour réinventer le monde qu'on m'a confisqué ...
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Messagepar Babou » 16 Déc 2006, 21:49


Le comte Adolphe Ambroise von Suce-Hard se tenait sur une passerelle ...

Wouaaaaaaah!!! sexy le mec

Oui mais une question : est-ce que sucer c'est tromper ?

EDIT : y a que ceux qui connaissent Ardisson qui peuvent comprendre.
La parole se fait spontanément rythme dès que l'homme est ému, rendu à lui-même, à son authenticité. Oui, la parole se fait poème. (Léopold Ségar Senghor)
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Messagepar Phantom_Blue » 18 Déc 2006, 10:03


On peut même tromper dans ses pensées. 8)

Pour ceux qui n’auraient pas capté le jeu de mots : Suchard… Suce-Hard !
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Messagepar Laraider » 18 Déc 2006, 16:31


BABOU a écrit:
Le comte Adolphe Ambroise von Suce-Hard se tenait sur une passerelle ...

Wouaaaaaaah!!! sexy le mec

Oui mais une question : est-ce que sucer c'est tromper ?

EDIT : y a que ceux qui connaissent Ardisson qui peuvent comprendre.

Ben ... quand je suce une "italienne" au bord de mer, je ne pense pas que mon bac de glace au congelo, soit jaloux :)
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