Où l'horizon prend fin, où l'œil de l'homme jamais n'apaisera sa fin, se font et se défont les cubes, érodés par les nouvelles techniques, faisant apparaître les courbes parfaites des OIA (objets identifiés animés) dans des univers hyper réalistes et des sons supra réalistes.
Celui qu'il fallait réduire en bouillie, c'était Papo, le big boss de la secte des hyper réalistes, qui œuvrait dans son bunker souterrain tel un despote du web, face à ses centaines d'écrans pc.
Faire sauter la centrale électrique, priver Papo de toute communication extérieure, l'isoler dans son trou à rat. Puis l'enfumer, le faire sortir et rafaler non-stop.
Suis les instructions au millimètre près, ou crève, radicale la méthode et finie la Gestapo (ou la Gestapapo) !
On avait connu la 64, celle que je vénérais par-dessus tout, la seule, l'unique la vraie.
Puis il y eut la 128, déjà un outrage.
Et la 256, une abomination.
Ah ok, je comprends mieux maintenant (merci Jo) et du coup j’ai plusieurs métros de retard !
Vu le délire de la fic je pense que c’est la 1664 dont tu as abusé !
Et maintenant la 666, la blu-ray de la texture, une insulte innommable à la nature, le blasphème absolu de la vision.
La technologie avance à grands pas, oui blasphème, normal, on est sur la route du diable.
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Je n'aime pas les règles strictes c'est pas dans mes gènes.
Ni les textures de végétation frôlant la frise plus que parfaite.
Rond’eud’ieu
Ça, je ne veux pas le voir écrit, je veux l’entendre !
PS : En fait ! Tu as explosé un bâtiment de la zone 51 !
Pauvre Agent Falkan !