Petite chronique de L'homme qui se ramasse


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Petite chronique de L'homme qui se ramasse

Messagepar Babou » 21 Déc 2010, 14:07


Cette fic a été écrite avec Papo, à quatre mains.
Au héros de déterminer les paragraphes des deux paires de mains :05:

J'me sentais pas terrible ce matin, la bouche pâteuse, les yeux collés malgré ma demi toilette, J'ai encore dû cogiter toute la nuit sur mes personnages, c'est incroyable, mes doigts et mon esprit ne sont plus contrôlables. Et dire que Papo m'a encore filé des idées de fic, comme si j'avais encore besoin de sujets … Déjà que j'ai pas encore « terminé » la totalité des membres Laraidiens et mes romans qu'avancent pas, l'éditeur va encore me phoner !
Je file en pilote automatique direction la salle de bain, mais à un moment je cogite que j'vois rien, merde … suis aveugle ?? Arf non c'est mes cheveux qui sont sortis du filet, le chouchou a dû lâcher et maintenant j'les ai devant les zoeils, grave quand même que j'arrive pas bien à émerger !?
Je m’octroie une douche des cheveux de la tête, de ceux de dessous les bras et finalement j'émerge,
Bon allez faut que je dalle, parce qu'après … direction la fnac puis le bistrot et il y aura aussi Nicole à qui va falloir encore expliquer a quoi sert le mulot entre deux conversations philosophiques.
Pfff plus de kellogs et plus de 1664, bon en plus va falloir que j'refasse le ravitaillement !! Je zieute le frigo espérant avoir la force d'esprit pour ouvrir la porte, pas de bol ce matin rien ne va bien, je me relève donc péniblement et ouvre la porte. Tiens me reste un fond de potage … bah, réchauffé ça fera bien l'affaire et pis tout à l'heure, je prendrai quelques cahuettes au comptoir en faisant la belote avec les potes.
Je colle le bol au micro onde et j'écarte un peu l’aluminium des fenêtres pour voir le temps qu'il fait dehors, je caille un peu quand même, j'frissonne des guibolles, remarque c'est normal, le calbar que j'porte date un peu et mon teeshirt manche longue est pas un thermolactyl. Ouf !! y a au moins vingt centimètres de neige, on voit plus la barre d'en face, rien que çà me file un frisson qui me remonte du coccis en haut des cheveux de la nuque de la base de la tête . Pourtant ils zont mis le chauffage dans la cité et je devrais pas cailler … bref ce matin pour aller dehors ça va être chaussettes de laine et moonboots.
Je lape vite fait le potage qu'a plus vraiment le goût d'un potage mais plutôt de flotte salée ! Au moins ça réchauffe de l'intérieur du dedans !
Je passe vite fait dans ce qui me sert de bureau, le pc est encore resté allumé et il y a personne sur skype ou msn, bah suis en invisible, personne risque de m'interpeller ! Ouh ça me fais penser qu'il faut que je regarde encore au moins trois ou quatre épisodes de l'homme de picardie … je n'étais arrêter là ou il bourrait sa pipe en bout de péniche, fin « sous tension » du 20 ème épisode... ahh allez je reste pas la, sinon j'vais ressentir l'appel de Thierry la Fronde … Je retrouve enfin mes pures laine, pourquoi elles étaient sous les coussins du divan ???
Dès fois y a des questions vachement existentielles dans la vie. C’est comme un jour, j’ai cherché un bouquin pendant des mois, fouillé partout, ben je l’ai jamais retrouvé. J’enfilai ma parka et dévala l’escalier. Pas vraiment adaptée, la paire de basket dans 20 cm de neige. Bon, je vais quand même passer vite fait au Leclerc. Deux packs de 1664, de la flotte, trois maxis plaques de choco noir, du lait bien centré, comme disait je ne sais plus quel con, une baguette de pain, des zoeufs, une livre de patates …. Tiens ! Les coquillettes sont en promo, allez, avec deux paquets j’en ai au moins pour six mois. Purée, c’est lourd la flotte. Sur le chemin du retour j’aperçu une silhouette noire, je la voyais bien car elle tranchait avec le blanc de la neige, un homme vraisemblablement, long manteau noir, fute noir, chapeau noir. Il était réel dans l’irréel. Puis la silhouette s’effaça. Je me frottais les yeux, ben des fois les pupilles ça dec, faut les remettre en place. L’homme avait bien disparu. Tiens, ça me donne une idée de fic. Bon, chaque chose en son temps. Pas de ma faute si j’ai des neurones qui spiralent à la vitesse du son. Ouais, vous zallez pas comprendre, une vieille histoire de marmite… Pas facile de trouver l’équilibre entre le cerveau droit et le cerveau gauche, même les frères Bog ne l’ont jamais trouvé. Purée, c’est lourd la flotte. En franchissant la porte, skype hurlait sa sonnerie hurlante, discrètement j’allais zieuter l’appel. Ah ! C’est encore Papo, heureusement que je suis en invisible, sinon il va me tenir la jambe pendant deux plombes ! Je redévalai l’escalier et fila jusqu’à l’arrêt de bus. Bizarre il n’y a personne, je scrutai le paysage. Mais au fait, on est quel jour ? Samedi ? Merde, j’avais oublié que c’était la grève des bus. J’arrive au Restaurant de Paris, ben j’ai réussi à attraper un bus en dérive. Au fait, je me présente, je suis Blue et je recherche mon double. La chaleur du bistrot caressait mon corps. Comme je me dirigeais vers ma table, j’aperçu une blonde sculpturale, le balcon généreusement garni. A cette époque, autant conjuguer les saisons. Ras le bol des Bégonias, je préfère le Lys blanc ou l’Orchidée rare. Vainquant ma timidité (ben, on est dans une fic), je fixais les prunelles noires de Nicole.
— Que faites-vous dans la vie ?
— Je suis balayeuse.
— C’est très captivant comme métier, dis-je les yeux fixés sur les deux melons satinés.
— Et vous balayez quoi au juste ?
A ce moment là Blue senti une extension au niveau de sa braguette. Zut, voilà Kaa qui se réveille. « Calme-toi mon vieux, on n’est pas en Amazonie ». Tiens, ça me fait penser à une fic.
— Un peu de tout enchaîna Nicole, qui ne pouvait s’empêcher de loucher sur la protubérance futale, des canettes vides, des pétards, des soutifs, des mots qui traînent, même des fotes.
— Et vous ? Vous faites quoi ?
— Je suis fabriquant de phrases le jour, et fantôme la nuit.
— Ah, je comprends, ce sont vos mots que je balaye….
— Savez-vous que les créatures bizarres, qui se vantent de maîtriser leurs muscles vaginaux, représentent un danger sérieux pour l'équilibre de l'économie mondiale ?
— Euh.. vaginalement parlant, non… ânonna Nicole le visage rougissant.
— Pas grave, je dois filer, une question existentielle à régler avec mon pote Paulo.
Je me décide enfin pour allez voir Paulo, va pas trop bien le type, sa gironde l’a encore laissé tomber. Hé hé mince, je devrais pas rire mais ça fait jamais que la dixième fois ! D'après ce que j'ai pu comprendre, il tente encore de nager dans le bonheur mais là c'est plutôt dans le gévéor ou le kiravi qu'il se noie.
Quoi ?! Encore une ombre qui passe puis s'arrête un peu plus loin, c'est marrant que ça ressemble à un cochon qu'aurait trainé un peu dans le cambouis, ça grogne dans ces poils, ça tourne en rond … je crois rêver ? Un battement de cils et pffuit ça a encore disparu ! Houla... va falloir que je zieute à deux paires de zoeils ce que j'avais collé dans ma soupe …
Je me traine, avec toute cette flotte cristallisée en cristaux de flotte gelée, j'ai mes baskets qui commence à plus êtres étanches … ça continue !
Enfin j'arrive péniblement à une dizaine de carrés de la porte de Paulo … « dizaine de carrés » qu'est-ce que je raconte moi ? J'aurai finalement peut être du tailler la bavette avec le mercenaire des bistrots, le bien nommé Papo !
Hum j'ai beau pas trop faire attention aux vitrines, faut bien dire que cette vendeuse a un profil arrière bien carrossé, les fringues un peu dans le style manga, juste comme je les aime, nippon ni mauvais. Ouah malgré que j'ai les arpions complètement gelés, je rate pas une miette des yeux rieurs et plissés qui me file une claque dans le calbard du bas de ma personne !
Sacré Kaa ! S’il pouvait geler définitivement ! Bon, c’est pas tout d’arriver chez Paulo, voilà que mon GPS déconne à nouveau, et cette voix synthétique m’énerve au plus au point. En plus c’est pas ma faute si Paulo perd sans arrêt ses « Paulette ». Faudrait que je lui présente mon pote Rampage Master, spécialiste des rencontres. Il fait du sur mesure », il peut même mixer deux nanas, voir trois. En plus, il est capable te faire une blonde intelligente. Ouais, en fait, il doit régulièrement vidanger son QI, sinon il fait exploser tous les sites.
Hum, en parlant de vidanger … j'aime pas, mais va vraiment falloir que trouve un endroit où soulager ma vessie, attend Paulo c'est par là et il me semble bien que c'est pas loin d'une zone, le 51 avec le froid ça gonfle !
Je dézip le scratch des boutons de ma braguette, en avisant une vielle benne et juste au moment de commencer, en jetant un œil de chaque coté, j’aperçois une grande ombre sentencieuse ... j'hallucine, y avait rien là, de suite ! Pourtant elle est bien là et reste silencieuse en frappant régulièrement et sans bruit dans sa main un grand bâton, façon règle !
J'peux pas, ça m'la coupe, terrible de tout retenir juste au moment où ça partait. Je rezip le scratch des boutons de ma braguette sans pouvoir retenir deux gouttes et au moment de filer, juste je regarde dans sa direction, elle est encore là, mais cette fois, la position a changée, elle semble avoir les bras dans le dos, pleine de bienveillance.
Le potage ? Le 51 ? J'aurais jamais du piquer les pastilles de titi, c'est des infusions de bandana, spéciales pour rockeur endiablé, c'est bien trop fort pour les créateurs de phrases … Vla que j'ai froid vraiment de partout, avec tout çà j'ai le pilou du suspensoir tout humide, c'est vraiment pas ma journée !
Pour me changer les idées, j'active la fonction Radio/Mp3 de mon Gps et dans mes oreilles la voix synthétique susurre :

— 5 heures du mat' j'chui pas si con, je claque un vent et je repars, c'est bon.
— Seul "comme on dit" dans le forum blanc cassé. C'est d'la folie, Laika s'est re cassée.
— Elle perd la tête, ces ptites barettes sont vérolées.
— Dans ce chantier, c'est plein de vertex et le tchat vide,
— J'suis tout seul, tout seul, tout seul.
— Pendant qu'Phantom m'exaspère, j'ai même pas d'quoi m'prendre un der de der.
— Clac ! fait le vers en s’effaçant sous mon mulot.
— J'm'casse d'ici, y a pas un bedeau !
— J'grille une maïs et l'écran danse, la nicotine ça grise,
Mais là ça r'commence ... {Yeah, Yeah, Yeah, Yeah} …
— Y a pu d'boutons, sur le clavier...

Rhaaa c'est du grand n'importe quoi, je change de station.
— Et dans la fic "L'anale des chroniques de ma lune rouge", un nouvel épisode "d'Aline in the dock", avec Blue, le troubadour menu, au teeshirt signé « love power », armé de son inséparable calepin et ses crayons mine HB, et accompagné de son fidèle MOMO, un corbeau sénile à l’appétit vorace, perdu dans le désert blanc et glacé de la cité, errant dans les rues et ruelles enneigées, face aux étranges types noirs difformes et frêles …
Gavé par cette voix, je coupe, j'arrive au bout de la rue, et je la vois, les seins tels des piliers étrangement hauts, dressés, nimbée par une aura ultra-sexe … elle, la blonde platine, vu de trop loin et de derrière la vitrine, elle m'apparaît irréelle … un casque vissé sur la tête, elle paraît parler au vide. Quelle allure de couguar, elle bouge un peu dans son décor mais à la vitesse du guépard. Sûre qu’elle doit avoir ses proies, des chasseurs, des touristes. Elle m'apparait dans presque toute sa nudité, c'est incongru quand on pense au froid qui règne dans les rues. D'un coup je pense safari … l'attrait du corps sculptural que j'ai sous les yeux m'assèche d'un coup le pilou et m'entraine loin ou il fait très chaud, je regarde un peu les tarifs, ouille, là c'est sûr, je partirais chasser l'année prochaine !
Allez, encore une ou deux rues, mes baskets collent à mes pieds qui collent au bitume, et j'ai de plus en plus de mal à avancer. Chez Péro je prendrai un apaulo !
En zieutant de l'autre coté de la rue, j'aperçois un attroupement étrange, un gars chevelu, devant un écran tiens un joy « guitar héro » et il égrène un succès que je connais bien, un morceau des Zèbre aKro, il semble peiner sur les accords, et deux trois autres silhouettes l'observent. Un grand malabar avec deux sabres croisés dans le dos, une toute petite momichone qui donne la main de ce qui me semble être une femme rousse ou aux cheveux rouges, elle a des colts dans les holsters. C'est des colts ou des biberons ?? Je déraille grave, j'aurai vraiment du rester à écouter Papo … c'est le froid sans doute …
Jo Drakan, le zoeil inquisiteur, les sourcils remontés en accent circonflexe grommelait. « Mais c’est quoi ces textures de merde, on n’est pas au Pôle Nord, d’ailleurs y a même pas un pingouin sur le fofo ». Une ombre furtive passa furtivement…. « Dessine-moi plutôt du Gobi, ça changera du mouton à bouclettes ». Soudain une blonde sculpturale attira son regard, elle avait des seins en forme de biberon. Plus loin, un phacochère avec une queue en tire-bouchon rose rasa le paysage incertain. Dans la quatrième dimension, Agent Falkan, en mode flybeat, cherchait les sept dieux d’or.

— Si j’avais un balai
— Je balaierais le jour
— Je balaierais la nuit
— Je balaierais toujours
—Je balaierais Didi

Laraider dégaina ses deux colts et canarda un cochon avec une queue noire et raide.
— M’mannnn », Laurine piétinait le sol en tirant sa mère par le bras,
— Raconte-moi encore la zhistoire de Barbe bleue qui zigouillait ses femmes..
— Lau, ça suffit, tu vois pas que je suis occupée ?
— Va voir ton père
— Mais papa s’est endormi sur le canapé, et y a plein de canettes par terre,
— Pffffffffff, tu m’en ficheras d’une famille pareille !
Assis l’un en face de l’autre, au Restaurant de Paris, Babou papotait avec Papo.
Trois cocottes en papier, qui se prenaient pour des danseuses, exécutaient des grands écarts parfaits. Dehors, une fille en noir tenait deux corbeaux en laisse. Une ombre furtive passa furtivement….
Un claquement de porte claquante claqua. Un homme avec un long manteau noir, un fute noir et un chapeau noir entra. Il lança un salut général et se présenta :
— Je suis Blue et je cherche mon double.
Un claquement de porte claquante claqua. Un homme avec un long manteau noir, un fute noir et un chapeau noir entra. Il lança un salut général et se présenta :
— Je suis Phantom et je cherche mon double.
Un craquement de sommier craquant craqua. Allongé par terre, sur le carrelage, Phantom Blue ouvrit un œil, puis deux.
— Aïe, purée, j’ai mal, mais c’est quoi ce bordel ! J’suis tombé du plumard.
— J’espère que j’me suis rien désossé
— Quel rêve très étrange….
— Zut, il est déjà huit heures moins dix
— Je dois filer au Leclerc
— Merde où j'ai collé mes moonboots
— Purée, c’est lourd la flotte.
Dans le désert blanc, un ombre furtive s’était définitivement figée…
La parole se fait spontanément rythme dès que l'homme est ému, rendu à lui-même, à son authenticité. Oui, la parole se fait poème. (Léopold Ségar Senghor)
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Re: Petite chronique de l'homme qui se ramasse

Messagepar Nicole » 21 Déc 2010, 23:30


Babou a écrit:Cette fic a été écrite avec Papo, à quatre mains.
Au héros de déterminer les paragraphes des deux paires de mains :05:

J'me sentais pas terrible ce matin, la bouche pâteuse, les yeux collés malgré ma demi toilette, J'ai encore dû cogiter toute la nuit sur mes personnages, c'est incroyable, mes doigts et mon esprit ne sont plus contrôlables. Et dire que Papo m'a encore filé des idées de fic, comme si j'avais encore besoin de sujets … Déjà que j'ai pas encore « terminé » la totalité des membres Laraidiens et mes romans qu'avancent pas, l'éditeur va encore me phoner !
Je file en pilote automatique direction la salle de bain, mais à un moment je cogite que j'vois rien, merde … suis aveugle ?? Arf non c'est mes cheveux qui sont sortis du filet, le chouchou a dû lâcher et maintenant j'les ai devant les zoeils, grave quand même que j'arrive pas bien à émerger !?
Je m’octroie une douche des cheveux de la tête, de ceux de dessous les bras et finalement j'émerge,
Bon allez faut que je dalle, parce qu'après … direction la fnac puis le bistrot et il y aura aussi Nicole à qui va falloir encore expliquer a quoi sert le mulot entre deux conversations philosophiques.
Pfff plus de kellogs et plus de 1664, bon en plus va falloir que j'refasse le ravitaillement !! Je zieute le frigo espérant avoir la force d'esprit pour ouvrir la porte, pas de bol ce matin rien ne va bien, je me relève donc péniblement et ouvre la porte. Tiens me reste un fond de potage … bah, réchauffé ça fera bien l'affaire et pis tout à l'heure, je prendrai quelques cahuettes au comptoir en faisant la belote avec les potes.J'attribue cette partie à Babou.

Je colle le bol au micro onde et j'écarte un peu l’aluminium des fenêtres pour voir le temps qu'il fait dehors, je caille un peu quand même, j'frissonne des guibolles, remarque c'est normal, le calbar que j'porte date un peu et mon teeshirt manche longue est pas un thermolactyl. Ouf !! y a au moins vingt centimètres de neige, on voit plus la barre d'en face, rien que çà me file un frisson qui me remonte du coccis en haut des cheveux de la nuque de la base de la tête . Pourtant ils zont mis le chauffage dans la cité et je devrais pas cailler … bref ce matin pour aller dehors ça va être chaussettes de laine et moonboots.
Je lape vite fait le potage qu'a plus vraiment le goût d'un potage mais plutôt de flotte salée ! Au moins ça réchauffe de l'intérieur du dedans !
Je passe vite fait dans ce qui me sert de bureau, le pc est encore resté allumé et il y a personne sur skype ou msn, bah suis en invisible, personne risque de m'interpeller ! Ouh ça me fais penser qu'il faut que je regarde encore au moins trois ou quatre épisodes de l'homme de picardie … je n'étais arrêter là ou il bourrait sa pipe en bout de péniche, fin « sous tension » du 20 ème épisode... ahh allez je reste pas la, sinon j'vais ressentir l'appel de Thierry la Fronde … Je retrouve enfin mes pures laine, pourquoi elles étaient sous les coussins du divan ??? Je pense à Papo pour celle-ci.

Dès fois y a des questions vachement existentielles dans la vie. C’est comme un jour, j’ai cherché un bouquin pendant des mois, fouillé partout, ben je l’ai jamais retrouvé. J’enfilai ma parka et dévala l’escalier. Pas vraiment adaptée, la paire de basket dans 20 cm de neige. Bon, je vais quand même passer vite fait au Leclerc. Deux packs de 1664, de la flotte, trois maxis plaques de choco noir, du lait bien centré, comme disait je ne sais plus quel con, une baguette de pain, des zoeufs, une livre de patates …. Tiens ! Les coquillettes sont en promo, allez, avec deux paquets j’en ai au moins pour six mois. Purée, c’est lourd la flotte. Sur le chemin du retour j’aperçu une silhouette noire, je la voyais bien car elle tranchait avec le blanc de la neige, un homme vraisemblablement, long manteau noir, fute noir, chapeau noir. Il était réel dans l’irréel. Puis la silhouette s’effaça. Je me frottais les yeux, ben des fois les pupilles ça dec, faut les remettre en place. L’homme avait bien disparu. Tiens, ça me donne une idée de fic. Bon, chaque chose en son temps. Pas de ma faute si j’ai des neurones qui spiralent à la vitesse du son. Ouais, vous zallez pas comprendre, une vieille histoire de marmite… Pas facile de trouver l’équilibre entre le cerveau droit et le cerveau gauche, même les frères Bog ne l’ont jamais trouvé. Purée, c’est lourd la flotte. En franchissant la porte, skype hurlait sa sonnerie hurlante, discrètement j’allais zieuter l’appel. Ah ! C’est encore Papo, heureusement que je suis en invisible, sinon il va me tenir la jambe pendant deux plombes ! Je redévalai l’escalier et fila jusqu’à l’arrêt de bus. Bizarre il n’y a personne, je scrutai le paysage. Mais au fait, on est quel jour ? Samedi ? Merde, j’avais oublié que c’était la grève des bus. J’arrive au Restaurant de Paris, ben j’ai réussi à attraper un bus en dérive. Au fait, je me présente, je suis Blue et je recherche mon double. La chaleur du bistrot caressait mon corps. Comme je me dirigeais vers ma table, j’aperçu une blonde sculpturale, le balcon généreusement garni. A cette époque, autant conjuguer les saisons. Ras le bol des Bégonias, je préfère le Lys blanc ou l’Orchidée rare. Vainquant ma timidité (ben, on est dans une fic), je fixais les prunelles noires de Nicole.
— Que faites-vous dans la vie ?
— Je suis balayeuse.
— C’est très captivant comme métier, dis-je les yeux fixés sur les deux melons satinés.
— Et vous balayez quoi au juste ?
A ce moment là Blue senti une extension au niveau de sa braguette. Zut, voilà Kaa qui se réveille. « Calme-toi mon vieux, on n’est pas en Amazonie ». Tiens, ça me fait penser à une fic.
— Un peu de tout enchaîna Nicole, qui ne pouvait s’empêcher de loucher sur la protubérance futale, des canettes vides, des pétards, des soutifs, des mots qui traînent, même des fotes.
— Et vous ? Vous faites quoi ?
— Je suis fabriquant de phrases le jour, et fantôme la nuit.
— Ah, je comprends, ce sont vos mots que je balaye….
— Savez-vous que les créatures bizarres, qui se vantent de maîtriser leurs muscles vaginaux, représentent un danger sérieux pour l'équilibre de l'économie mondiale ?
— Euh.. vaginalement parlant, non… ânonna Nicole le visage rougissant.
— Pas grave, je dois filer, une question existentielle à régler avec mon pote Paulo.
Je me décide enfin pour allez voir Paulo, va pas trop bien le type, sa gironde l’a encore laissé tomber. Hé hé mince, je devrais pas rire mais ça fait jamais que la dixième fois ! D'après ce que j'ai pu comprendre, il tente encore de nager dans le bonheur mais là c'est plutôt dans le gévéor ou le kiravi qu'il se noie.
Quoi ?! Encore une ombre qui passe puis s'arrête un peu plus loin, c'est marrant que ça ressemble à un cochon qu'aurait trainé un peu dans le cambouis, ça grogne dans ces poils, ça tourne en rond … je crois rêver ? Un battement de cils et pffuit ça a encore disparu ! Houla... va falloir que je zieute à deux paires de zoeils ce que j'avais collé dans ma soupe …
Je me traine, avec toute cette flotte cristallisée en cristaux de flotte gelée, j'ai mes baskets qui commence à plus êtres étanches … ça continue !
Enfin j'arrive péniblement à une dizaine de carrés de la porte de Paulo … « dizaine de carrés » qu'est-ce que je raconte moi ? J'aurai finalement peut être du tailler la bavette avec le mercenaire des bistrots, le bien nommé Papo !
Hum j'ai beau pas trop faire attention aux vitrines, faut bien dire que cette vendeuse a un profil arrière bien carrossé, les fringues un peu dans le style manga, juste comme je les aime, nippon ni mauvais. Ouah malgré que j'ai les arpions complètement gelés, je rate pas une miette des yeux rieurs et plissés qui me file une claque dans le calbard du bas de ma personne ! Peut-être Babou.

Sacré Kaa ! S’il pouvait geler définitivement ! Bon, c’est pas tout d’arriver chez Paulo, voilà que mon GPS déconne à nouveau, et cette voix synthétique m’énerve au plus au point. En plus c’est pas ma faute si Paulo perd sans arrêt ses « Paulette ». Faudrait que je lui présente mon pote Rampage Master, spécialiste des rencontres. Il fait du sur mesure », il peut même mixer deux nanas, voir trois. En plus, il est capable te faire une blonde intelligente. Ouais, en fait, il doit régulièrement vidanger son QI, sinon il fait exploser tous les sites.
Hum, en parlant de vidanger … j'aime pas, mais va vraiment falloir que trouve un endroit où soulager ma vessie, attend Paulo c'est par là et il me semble bien que c'est pas loin d'une zone, le 51 avec le froid ça gonfle !
Je dézip le scratch des boutons de ma braguette, en avisant une vielle benne et juste au moment de commencer, en jetant un œil de chaque coté, j’aperçois une grande ombre sentencieuse ... j'hallucine, y avait rien là, de suite ! Pourtant elle est bien là et reste silencieuse en frappant régulièrement et sans bruit dans sa main un grand bâton, façon règle !
J'peux pas, ça m'la coupe, terrible de tout retenir juste au moment où ça partait. Je rezip le scratch des boutons de ma braguette sans pouvoir retenir deux gouttes et au moment de filer, juste je regarde dans sa direction, elle est encore là, mais cette fois, la position a changée, elle semble avoir les bras dans le dos, pleine de bienveillance.
Le potage ? Le 51 ? J'aurais jamais du piquer les pastilles de titi, c'est des infusions de bandana, spéciales pour rockeur endiablé, c'est bien trop fort pour les créateurs de phrases … Vla que j'ai froid vraiment de partout, avec tout çà j'ai le pilou du suspensoir tout humide, c'est vraiment pas ma journée !
Pour me changer les idées, j'active la fonction Radio/Mp3 de mon Gps et dans mes oreilles la voix synthétique susurre :

— 5 heures du mat' j'chui pas si con, je claque un vent et je repars, c'est bon.
— Seul "comme on dit" dans le forum blanc cassé. C'est d'la folie, Laika s'est re cassée.
— Elle perd la tête, ces ptites barettes sont vérolées.
— Dans ce chantier, c'est plein de vertex et le tchat vide,
— J'suis tout seul, tout seul, tout seul.
— Pendant qu'Phantom m'exaspère, j'ai même pas d'quoi m'prendre un der de der.
— Clac ! fait le vers en s’effaçant sous mon mulot.
— J'm'casse d'ici, y a pas un bedeau !
— J'grille une maïs et l'écran danse, la nicotine ça grise,
Mais là ça r'commence ... {Yeah, Yeah, Yeah, Yeah} …
— Y a pu d'boutons, sur le clavier... Papo


Rhaaa c'est du grand n'importe quoi, je change de station.
— Et dans la fic "L'anale des chroniques de ma lune rouge", un nouvel épisode "d'Aline in the dock", avec Blue, le troubadour menu, au teeshirt signé « love power », armé de son inséparable calepin et ses crayons mine HB, et accompagné de son fidèle MOMO, un corbeau sénile à l’appétit vorace, perdu dans le désert blanc et glacé de la cité, errant dans les rues et ruelles enneigées, face aux étranges types noirs difformes et frêles …
Gavé par cette voix, je coupe, j'arrive au bout de la rue, et je la vois, les seins tels des piliers étrangement hauts, dressés, nimbée par une aura ultra-sexe … elle, la blonde platine, vu de trop loin et de derrière la vitrine, elle m'apparaît irréelle … un casque vissé sur la tête, elle paraît parler au vide. Quelle allure de couguar, elle bouge un peu dans son décor mais à la vitesse du guépard. Sûre qu’elle doit avoir ses proies, des chasseurs, des touristes. Elle m'apparait dans presque toute sa nudité, c'est incongru quand on pense au froid qui règne dans les rues. D'un coup je pense safari … l'attrait du corps sculptural que j'ai sous les yeux m'assèche d'un coup le pilou et m'entraine loin ou il fait très chaud, je regarde un peu les tarifs, ouille, là c'est sûr, je partirais chasser l'année prochaine !
Allez, encore une ou deux rues, mes baskets collent à mes pieds qui collent au bitume, et j'ai de plus en plus de mal à avancer. Chez Péro je prendrai un apaulo !
En zieutant de l'autre coté de la rue, j'aperçois un attroupement étrange, un gars chevelu, devant un écran tiens un joy « guitar héro » et il égrène un succès que je connais bien, un morceau des Zèbre aKro, il semble peiner sur les accords, et deux trois autres silhouettes l'observent. Un grand malabar avec deux sabres croisés dans le dos, une toute petite momichone qui donne la main de ce qui me semble être une femme rousse ou aux cheveux rouges, elle a des colts dans les holsters. C'est des colts ou des biberons ?? Je déraille grave, j'aurai vraiment du rester à écouter Papo … c'est le froid sans doute …
Jo Drakan, le zoeil inquisiteur, les sourcils remontés en accent circonflexe grommelait. « Mais c’est quoi ces textures de merde, on n’est pas au Pôle Nord, d’ailleurs y a même pas un pingouin sur le fofo ». Une ombre furtive passa furtivement…. « Dessine-moi plutôt du Gobi, ça changera du mouton à bouclettes ». Soudain une blonde sculpturale attira son regard, elle avait des seins en forme de biberon. Plus loin, un phacochère avec une queue en tire-bouchon rose rasa le paysage incertain. Dans la quatrième dimension, Agent Falkan, en mode flybeat, cherchait les sept dieux d’or.

— Si j’avais un balai
— Je balaierais le jour
— Je balaierais la nuit
— Je balaierais toujours
—Je balaierais Didi

Laraider dégaina ses deux colts et canarda un cochon avec une queue noire et raide.
— M’mannnn », Laurine piétinait le sol en tirant sa mère par le bras,
— Raconte-moi encore la zhistoire de Barbe bleue qui zigouillait ses femmes..
— Lau, ça suffit, tu vois pas que je suis occupée ?
— Va voir ton père
— Mais papa s’est endormi sur le canapé, et y a plein de canettes par terre,
— Pffffffffff, tu m’en ficheras d’une famille pareille !
Assis l’un en face de l’autre, au Restaurant de Paris, Babou papotait avec Papo.
Trois cocottes en papier, qui se prenaient pour des danseuses, exécutaient des grands écarts parfaits. Dehors, une fille en noir tenait deux corbeaux en laisse. Une ombre furtive passa furtivement….
Un claquement de porte claquante claqua. Un homme avec un long manteau noir, un fute noir et un chapeau noir entra. Il lança un salut général et se présenta :
— Je suis Blue et je cherche mon double.
Un claquement de porte claquante claqua. Un homme avec un long manteau noir, un fute noir et un chapeau noir entra. Il lança un salut général et se présenta :
— Je suis Phantom et je cherche mon double.
Un craquement de sommier craquant craqua. Allongé par terre, sur le carrelage, Phantom Blue ouvrit un œil, puis deux.
— Aïe, purée, j’ai mal, mais c’est quoi ce bordel ! J’suis tombé du plumard.
— J’espère que j’me suis rien désossé
— Quel rêve très étrange….
— Zut, il est déjà huit heures moins dix
— Je dois filer au Leclerc
— Merde où j'ai collé mes moonboots
— Purée, c’est lourd la flotte.
Dans le désert blanc, un ombre furtive s’était définitivement figée… Babou


Une histoire tout en rebondissement, et j'adore la chute. Je vois aussi que suis fidèle au poste de femme de ménage, je vais devenir une pro du balayage et du ramassage de tout ce qui a été oublié durant ces nuits d'égarements.
Un sourire ne coûte rien et produit beaucoup.
Il enrichit ceux qui le reçoivent, sans appauvrir ceux qui le donnent.
Il ne dure qu'un instant mais son souvenir est parfois éternel.
Nicole

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Re: Petite chronique de l'homme qui se ramasse

Messagepar Papofyse » 22 Déc 2010, 05:40


Salutatoi Nicole,

C'est pas mal vu ... mais c'est pas çà ^^
Même si parfois on a eu chaud ^^

Baille

Edition Babou Je tiens à dire que cette petite idée de Papo c'est pour rigoler, que celà ne freine pas vos posts :05:

Image

Edition PapoJe tiens à dire que le dix ne veut rien dire du tout (ce n'est pas le nombre de paragraphes, ni quatre d'ailleurs) :D
Le bal de laze, Good Bye Marylou, les sucettes à l'anis, Born to be a life, j'aurai voulu, j'ai tout oublié, Je ne veux qu'elle ...
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Re: Petite chronique de L'homme qui se ramasse

Messagepar Phantom_Blue » 22 Déc 2010, 09:33


Alors quelques petites remarques techniques.

De… "J'me sentais pas terrible ce matin, la bouche pâteuse"… à… "et dans mes oreilles la voix synthétique susurre :"

C'est beaucoup trop compact. Il aurait fallu faire en plusieurs grands paragraphes avec un interligne entre. Histoire d'aérer et de rendre la lecture moins compacte.
Quand on change de scène, donc de lieu (principe du scénario de film).

Ce qui donne :

— J'me sentais pas terrible ce matin…

— Je passe vite fait dans ce qui me sert de bureau…

— J’arrive au Restaurant de Paris… (surtout à cet endroit, vu qu'il s'agit d'une scène nouvelle dans un lieu différent)

— Enfin j'arrive péniblement à une dizaine de carrés de la porte de Paulo…

Vainquant ma timidité (ben, on est dans une fic), je fixais les prunelles noires de Nicole.

Comment je peux savoir que c'est Nicole, alors qu'elle ne m'a même pas encore dit son nom ?
Erreur flagrante de débutant ! C'est pour le coup du papier peint dans l'éditeur ! :D

Et elle est où, la Japonaise en cosplay Final Fantasy avec des cheveux roses à la Lucy de Blade Runner ? M'enfin ! Je suis déçu, très déçu ! :D

Sinon de bons passages, il faut le reconnaître.
Je ne dirai pas lesquels, des fois qu'il y aurait plus de bons passages pour l'un que pour l'autre. Je ne voudrais pas créer des conflits apocalyptiques. :01:

Expérience d'écriture à deux à renouveler.
Allez, un 17 sur 20, je note large, c'est Noël ! :04:
La prochaine sera encore meilleure. 8)
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Re: Petite chronique de L'homme qui se ramasse

Messagepar Papofyse » 22 Déc 2010, 11:00


Très mauvais élève, met des annotations en dépit du bon sens, une sélection était attendue, pas une potentielle notation ...
Le professeur appréciera donc à sa juste valeur ! et en attendant M'frez cinquante lignes ... :P

PS : Merci :biggrin:
Le bal de laze, Good Bye Marylou, les sucettes à l'anis, Born to be a life, j'aurai voulu, j'ai tout oublié, Je ne veux qu'elle ...
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Re: Petite chronique de L'homme qui se ramasse

Messagepar Dorian » 19 Nov 2011, 21:27


Bon, il aura fallu qu'on me colle un flingue sur la tempe pour que je lise enfin cette fic mais ça y est, c'est fait... et je ne regrette pas :)
Je suis incapable de dire qui a écrit quoi, je sais juste que c'est très bien écrit. Beaucoup de rythme, des mots qui taillent dans le vif et qui offre d'éclatantes envolées. Cependant, je ne vous cache pas que j'ai décroché à une ou deux reprises. Certains passages sont tellement ultra-référencés que je me suis senti un peu largué. J'ai conscience que ça reflète bien ce qui se trame dans le crâne over-inspiré de Phantom mais c'est quand même dur à suivre pour un néophyte comme moi ^^
Enfin voilà, c'est quand même super positif et j'aimerais bien voir l'expérience renouvelée :)

Quelques passages particulièrement délectables :

Deux packs de 1664, de la flotte, trois maxis plaques de choco noir, du lait bien centré, comme disait je ne sais plus quel con, une baguette de pain, des zoeufs, une livre de patates …. Tiens ! Les coquillettes sont en promo, allez, avec deux paquets j’en ai au moins pour six mois.

xd
Savez-vous que les créatures bizarres, qui se vantent de maîtriser leurs muscles vaginaux, représentent un danger sérieux pour l'équilibre de l'économie mondiale ?

Très fort ^^
J'peux pas, ça m'la coupe, terrible de tout retenir juste au moment où ça partait.

Ce sont des choses qui arrivent :04:

Ah oui et la fin : splendide.
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