Romance Funeste

[Phantom_Blue]

Ben dis donc ! Si ça c'est pas un climax en love story !

A toute hâte, elle se precipite dans la salle de bain, vérifie son make up en " Smockey Eyes ", retouche celui de ses lèvres d'un rouge Carmin soyeux et termine en s'appliquant quelques gouttes de " L'Heure Bleue " de Guerlain.
C'est bien les femmes, jamais prêtes !

Un dernier regard dans le miroir, ses mains passant le long de sa robe comme pour en aplanir des plis qui n'existent pas,
Oui, c'est bien les femmes !

Sur le seuil de la porte, une fleur d'Orchidée Sauvage dans sa main, Krystos est la, sous les yeux brillants d'Hell. Les cheveux attachés en queue de cheval, habillé d'un ensemble " Armani " très élégant, des notes fraichement épicée d' Aqua Di Gio du même couturier latin émanant de sa peau diaphane,
C'est le love haut de gamme ! Remarque, c'est mieux que de se trimballer en jogging, après un parcours où tu transpires, et de mordre dans un hot dog spongieux de ketchup ! L'amour palace cinq étoiles c'est quand même autre chose, y a pas à dire.

Dans les bras l'un de l'autre, les lèvres toujours en contact, Hell attire Krystos à l'interieur, ce dernier prenant soin de refermer la porte derriere lui de son pied..seul membre disponible à cette tache.
Bien observé.

dévoilant une lingerie des plus subtils, sans vulgarité aucunes.
Ben alors ? Alice Lange ? Lise Charmel ?

Pendant presque deux heures de jeux interdits,
Les vampires ont de l'endurance.

Le corps encore parcourus de frissons Orgasmiques, Hell tente de se levé. Elle y parvient même si les vertiges de l'amour manques de lui faire perdre l'équilibre.
C'est pire que de passer dans un lavomatic pour bagnoles sans la bagnole.

Prenant soin d'enfiler un déshabillé de lycra turquoise liseré d'Indigo sur le décolleté,
On reconnaît l'expert.

le corps encore censuré du drap de satin rouge.
Très poétique.

Ses doigts offrants une Pueblo Blue a ses lèvre,
Je connaissais pas. Vite, faut que j'en fume une !

tu est merveilleux !
Réplique classique d'Amour gloire et beauté, mais toujours aussi efficace dans de telles circonstances. On n'a pas trouvé mieux.

entre deux bouffées de fumée bluesque de Pueblo Blue,
Plus blue tu peux pas.

Pour toutes réponse, Krystos se lève, enfile juste un pantalon et va rejoindre Hell Babou sur le balcon.
Torse nu, finement musclé, sa longue chevelure au vent, si ça c'est pas du vampire.

Tu as du Champagne ? Nous devons fêter !
Ca change de la Budweiser.

— La beauté de la Lune, car elle seras désormais le Symbole de l'amour, de notre amour...
Twilight à côté c'est pour les gamines de pensionnat.

Agenouillés sur un lit de soie blanche, Sakito et Hakuei avait les lèvres sceller en un baisé virilement mordant. Allongée, la tête sous le duo labiale des deux garçons, Luny, la seule femme de l'entourage de la reine, était la, sa longue chevelure noire serpentant sur le draps...sa bouche ouverte receuillant le precieux liquide sanguin qui s'écouler des deux bouches masculinement langoureuses.
On ne s'ennuie pas chez les vampires.

Je veux voir sa tête choir et son coeur, boire !
A la Baudelaire.

Deux scènes indispensables qui exposent bien la situation et lancent la suite. Krystos, tu nous avais cachés ce talent raffiné.

[Babou]

Sur une petite table de bois exotique, importée de Thaïlande, au finis raffiné, quelques batons d'encens dégagent un délicieux parfum de Lotus du Japon.
Tu n'es pas censé savoir que je m'encense, en même temps, me connaissant c'est pas very compliqué. J'achète pas n'importe quel encens. Bref, mes encens roulés main sont indiens. Mon préféré c'est le Krishnaraj "le maître de l'amour", j'aime également Dewi, un peu poivré et y a aussi le Kama Sutra et Nouvelle Aurore. Voilà, pour n'en citer que quatre. On les trouve que dans une seule boutique, "La Librairie de L'inconnu" (de la pub au passage), où je peux rester des heures. Y a tout sur l'éso dans cette boutique, même le b.a.ba pour faire tourner une table. Sinon le parfum Lotus me convient parfaitement. Curieusement je baigne dedans en ce moment.


De la micro-chaine s'envolent les notes de "69, année érotique" de Birkin et Gainsbourg.
Les belles années, nostalgie, le petit plus .... Avais-je déjà des idées coquines en tête ?

Vêtu d'une longue robe de soie noire, ouverte a mi-cuisse, moulant gracieusement ses courbes délicates, des Talons aiguilles vertigineux signé "Louboutin" ornant ses petits pieds et les cheveux modelés en un chignon Banane parfaitement soignée, réhausser d'une fleur d'Ylang, Hell Babou finit de preparer la table en y deposant une bouteille de " Nicolas Feuillate" fraichement gardé dans un sceau a glaçons en argent et un petit plat de fraises fraiches.
Hell Babou s'autorise même une légère touche de romantisme en laissant choir quelques pétales de Roses Noires sur la table.
On dirait que t'as pénétré dans mon cerveau. Je vois que tu as retenu la signature Louboutin. J'adore le modelé Banane, lol. Ben c'est chic, je revois Grace Kelly. Par contre le Ylang, j'aimerais que tu me le doubles. Ylang Ylang. Ah, le "Nicolas Feuillate", je suis aussi preneuse, ils font des minis bouteilles par quatre, j'en prends des fois, c'est pratique. Les pétales noires, jetées comme ça, c'est moi ! Des pétales ou autre chose.

A toute hâte, elle se precipite dans la salle de bain, vérifie son make up en " Smockey Eyes ", retouche celui de ses lèvres d'un rouge Carmin soyeux et termine en s'appliquant quelques gouttes de " L'Heure Bleue " de Guerlain.
En vapo L'heure Bleue

Un dernier regard dans le miroir, ses mains passant le long de sa robe comme pour en aplanir des plis qui n'existent pas, elle se dirige, le pas tranquille et la tête haute vers la porte.
La phrase est belle, le geste très féminin.

Krystos lui adresse un sourire torridement ravageur qu'Hell lui rend aussitôt.
Déjà "ravageur" est un mot fort alors en plus si il est torridement ravageur, imaginez ..

Sans même une parole, sans même se poser de questions, pousser par une force qui leur échappe completement, les deux êtres se rejoignent en un baisé torride.
Hum.. je sais pas si notre force nous échappe vraiment, mais tout est torride, sous haute température.

Dans les bras l'un de l'autre, les lèvres toujours en contact, Hell attire Krystos à l'interieur, ce dernier prenant soin de refermer la porte derriere lui de son pied..seul membre disponible à cette tache.
J'aime bien la précision "seul membre disponible à cette tâche" et la porte claquée d'un coup de pied. On voit bien le geste.

Emportés par un tourbillons de sentiment grisants, ils se retrouvent vite dans la chambre.
Et dire que dans l'épisode précédent j'étais timide. Elle aura pas duré longtemps ma timidité !

Les mains de Krystos carressant les courbes délicates d'Hell, se laissent aller à faire glisser la robe de soie glissante de cette dernière
La robe de soie glissante qui glisse, c'est normal, elle n'a aucun pli.

Pendant presque deux heures de jeux interdits,les deux amants jouent de leurs êtres, leurs âmes se liant au même titre que leurs enveloppe charnel.
La durée est correcte pour une mi-temps.

Le corps encore parcourus de frissons Orgasmiques, Hell tente de se levé.
J'aimerais connaître le secret pour avoir encore des contractions sismiques après coup ! Si j'ose dire. Tout le passage, depuis << emportés par le tourbillon >> jusqu'à << le corps encore censuré du drap de satin rouge >> est écrit avec élégance, délicatesse et poésie, en jouant avec les mots, un choix de voca subtilement choisi et c'est pas si facile.

Elle y parvient même si les vertiges de l'amour manques de lui faire perdre l'équilibre.
Les vertiges ça ne m'étonne pas. C'est quand même une sacrée ascension ... un peu comme escalader le rocher de Roccapina.

Ses doigts offrants une Pueblo Blue a ses lèvre, la grillant aussi sec, Hell s'adresse a Krystos, le regard encore tout illuminés
C'est trop tentant !!! Je croyais avoir fumé tout ce qui était possible de fumer dans une vie antérieure ..... quand j'étais comtesse. Je peux pas fumer la Blue et laisser Pueblo ? J'ai regardé sur le net, cette marque existe vraiment.

Je veux voir sa tête choir et son coeur, boire !
J'adore les slogans !

[Krystos]

Episode 6

Il est 17 heure, un bruit claquant de talons Gucci claquent sur le bitume d'une avenue bondée de touristes, traders et clochard en tout genre. De ces talons, une forme feminine s'en élève. Cintré dans un tailleurs Kenzo de lin aux teintes écrus, encore camouflé de sa perruque noire, Hell babou ou plutôt Babou dans le cas présent, s'engouffre dans une ruelle sombre.
Quelques pas plus loin et elle se retrouve face à une porte à laquelle elle frappe trois coups. Trois secondes passent avant que la porte ne s'ouvre et qu'une main l'invite à entrer discrètement.
Face à elle, un jeune homme, le crane rasé, des lunettes à monture carré, plutôt mignon lui lance un petit sourire en lui demandant :
— Comme d'habitude ?
— Oui mais cette fois j'aurais besoin du double de munitions. Je n'ai plus de réserve.
— Je te prépare ça de suite.
— Et...euh ? David ?
— Oui ?
— Tu peut aussi me mettre deux ou trois sachets de ce que tu sais ! Lui dit elle dans un sourire malicieux
— Une petite fête ?
— Pas exactement...J'ai un invité à la maison, autant lui faire connaitre les spécialités de la maison.
— Je vois ! Lui répondit David en partant dans la pièce voisine.
David réapparait quelques minutes après, déposant des boites de munitions spéciale "Killeuze de Vampire" et quatre sachets de plastique contenant une étrange substance de couleur verte.
Babou sort alors un billet de sa poche, le tend a David qui s'empresse de le ranger. Ses achats en mains,Babou se prépare a sortir et arriver devant la porte, elle se retourne et le saluant de la main, lui dit :
— A un de ces quatre....Si je vis encore d'ici la !

Une atmosphère lourde de tension plane sur la salle du conseil. Meian toise d'un regard ténébreux tour à tour, Luny, Hakuei, Sakito et Hitsugi. Dans un profond soupir d'impatience, Luny se décide à prendre la parole.
— Vas tu enfin nous dire ce que tu attend de nous ?
— Calme donc tes ardeurs ! Je vais t'offrir l'occasion de te défouler un peu et je sais que tu ne refuse jamais un bon petit Fight Darling !
Un sourire diabolique étire les lèvres de Luny à l'entente de la véracité de ce faite.
— Bien ! Comme vous le savez, Hell Babou et l'exterminateur sont désormais lié par un lien très fort. Je m'occuperais bien du problème moi même mais le danger est beaucoup trop grand si je les attaques sur leur territoire. Ils nous faut les attirer jusqu'ici et c'est la que vous intervenez. Toi, ma chère Luny ainsi que Sakito et Hakuei, allez vous rendre à New York. Arranger vous pour laisser votre carte de visite sur place mais essayer de ne pas vous faire tuer !
— Et par quel moyen réussiront nous a laisser une trace de notre passage sans avoir a les affronter tout les deux ? Lui demande sur un ton ironique Sakito.
— C'est très simple ! Il leur faut une raison de vouloir venir nous trouver. L'Exterminateur s'est pris d'amitié pour une jeune fille, une véritable paumée mais je suis certain qu'il accepterai mal qu'il lui arrive malheur à cette pauvrette...Trouvez la vite ! Amusez vous tant que vous le souhaiterais mais ne la défigurer pas...ce message t'est particulièrement destinée Luny ! Je sais a quel point tu as la griffes violente.
Luny lui envoie un regard furieux mais s'incline tout de même avant de lui demander :
— Pourquoi Hitsugi ne nous accompagne pas ? Aurais t-il peur ? Dit elle dans un rire moqueur.
— Cela suffit ! J'ai besoin de lui ici et tu sais aussi bien que moi qu'il est trop doux pour ce genre de mission...Faite moi honneur mes chéris, je compte sur vous et n'oubliez pas ! C'est notre avenir qui est en jeux...si ils viennent à me tuer, c'est vous tous qui mourraient avec moi !
Un dernier regard empreint de frayeur et les trois comparses tournent les talons, se dirigeant vers la sortie, bien déterminés a accomplir avec dévotion leur possible dernière mission.

La lune brille d'une lumière éclatante. Assis l'un en face de l'autre, Krystos et Hell savourent avec délice une coupe de " Nicolas Feuillate". Se dévorant du regard, Ils parlent, rigolent , de tout, de rien, de rien et de tout. Soudain, une lueur coquine dans le regard, Hell dit à Krystos :
— Si on pimenté un peu la soirée ?
— Que veux tu dire ?
— Laisse moi faire.
Babou sort alors une JOB du paquet posé droit et bien parallèle aux briquet et à sa coupe. Elle se lève, se dirige jusqu'a la chambre d'où elle revient avec l'un des étrange sachet qu'elle as acheter à David.
Avec minutie et dextérité, elle ouvre la cigarette sur toute sa longueur, en deverse son contenue dans une feuille à rouler et ouvre le fameux sachet d'où elle extrait quelques pincées d'une substance herbeuse qu'elle déverse dans le tabac.
Chemin faisant, elle roule entre ses doigts délicat un morceaux de ticket de metro qu'elle place a une extrémité de la feuille. Pour finir, Hell roule entre ses doigts la feuille contenant le mélange et d'un coup de langue malicieux et provocateur, referme la cigarette ainsi modifié.
Ceci fait, elle repose, toujours parallèle au paquet de cigarettes et autres items de la tablée, la cigarette maison et reverse un peu de champagne dans les deux coupes. Krystos dit alors sur un ton amusé :
— Je connais ce truc, un ami m'as déjà fait découvrir cela mais il appeler cela une Pakistanaise et ce n'était pas pareil dans la préparation. J'ose a peine te dire que j'avais le Mouhahahaha super frénétique.
Hell ne peut s'empêcher de rire à l'écoute de cette anecdote, avant de porter la fameuse cigarette à sa bouche. Aussitôt, Krystos s'empare du briquet pour allumer Hell qui tire une bouffée avant de la passer a Krystos qui en fait de même.
Quelques bouffées et fou rires plus tard, un regard étrangement fixant se dirige sur Babou.
Les yeux brillants et interrogateur, Hell demande :
— Qui y as t'il ?
— J'aimerais, a mon tour te montrer un truc planant, tu veux tenter l'experience ?
— Euh...Oui ! Mais de quoi s'agit il ? Demande Hell Babou de plus en plus interloquée
— Laisse moi faire, tu regretteras pas le voyage.
Bien que peu rassurée, Hell suit Krystos qui se lève de sa chaise.
— Passe tes bras autour de ma nuque Sweety et ferme les yeux.
Hell Babou s'exécute, sentant les bras de Krystos l'enlacer, une main contre ses reins, l'autre contre son épaule.
— Tu est prête ? Lui susurre Krystos à l'oreille.
— Oui même si j'ai un peu peur de ce que tu me réserve, krys Chéri !
— Tu n'as rien à craindre, ferme les yeux et laisse toi aller.
Peu à peu, Hell se sent légère, plus légère qu'une brise estival. A mesure que les secondes passent, un sentiment grisant s'empare de son être, ses bras se resserant autour de Krystos qui dans un doux murmure lui dit :
— Tu peux ouvrir tes yeux maintenant.
Hell ouvre alors ses yeux et manque de tourner de l'oeil lorsqu'elle se rend compte qu'ils sont tout les deux, planant à 50 mètres au dessus du balcon, leur visage encadrer par une lune plus belle encore qu'elle ne l'avais jamais vue jusqu'a ce jour.
En d'autre circonstance, Hell serait terrassée par la peur mais étrangement, le contact brulant d'amour du corps de Krystos ne fait que la rassurer et perdant tout le contrôle de son être, ses yeux de biche encrés dans ceux de Krystos, un seul mot arrive à sortir de sa bouche :
— Je t'aime...
— J'avais peur de me l'avouer, mais, oui ! Moi aussi je t'aime Sweety et la Lune nous en ai Témoin !
Soudain, leur douce intimité est troublé par un violent sentiment de crainte transperçant le coeur de Krystos.
— Il se passe quelque chose de pas normal, Hell ! Tu ne l'as pas sentie ?
— Non, je ne suis, après tout qu'un être humain mais que ce passe t'il ?
— Je ne sais pas mais ça vient de Central Park ! Et ce n'est pas bon signe..je dois y aller !
— Je viens avec toi ! Le temps de prendre mon Katana.
— Non ! Mon pressentiment est trop...Mais Krystos n'as pas le temps de continuer qu'Hell l'interromps sèchement.
— Il n'y as pas a discuter ! Je viens, je ne te laisserais pas seul face à une situation qui pourrait te mettre en danger....Nous sommes liés désormais ! Partout ou tu iras, j'irais...et puis j'ai déjà affronter des épreuves aussi périlleuses que mortels...celle ci ne dérogeras pas a la règle.
— Ton caractère est égale à ta grâce, aussi félin l'un que l'autre, comment puis je te résister...Allons y !

Le vent siffle, glaciale entres les branches des arbres, sur ce lieux ou deux êtres que tout séparent, on croisé leur regard. Vêtu de cuire noir ornée de boucle argentées, un Katana derrière le dos, un bras autour de la taille de Krystos, Hell sent monter l'angoisse en elle.
Krystos as du mal a contenir la sienne, écartant nerveusement les cheveux qui lui fouettent le visage.
Après quelques Minutes à marcher, Krystos s'arrete net près d'un buisson d'où émerge deux petit pieds dont l'un est déchaussé. L'angoisse à son paroxysme, Krystos écarte les branches du buisson.
Ce qu'il y voit le glace d'horreur. Il se lève, les yeux remplie de haine mélé cependant de tristesse, comme le témoigne une larme de sang coulant sur sa joue.
Hell Babou dépasser par la réaction de Krystos devant ce qui lui semble être qu'une pauvre victime de plus demande alors :
— Que se passe t'il ? Qui est-ce ?
La voix tremblante, les yeux toujours empreint de colère, Krystos lui dit alors :
— C'est Cherry, Cherry Darling !

[Phantom_Blue]

De ces talons, une forme feminine s'en élève.
Belle description en contre-plongée. Tu sais manier la caméra.

David réapparait quelques minutes après, déposant des boites de munitions spéciale "Killeuze de Vampire" et quatre sachets de plastique contenant une étrange substance de couleur verte.
On est loin des cigarettes. Je connaissais "Black out" d'Inferno, qui donne des féeries cauchemardesques, et "Crimen Amoris" de Sepultura, qui donne des cauchemars féériques, mais pas "Killeuze" de Vampire.

Luny ! Je sais a quel point tu as la griffes violente.
Les femmes ne sont que des violences totales de l'amour. C'est Freud qui a dit ça, après son auto-analyse, une nuit d'orage, le Kama-Sutra ouvert devant ses yeux enfumés par les visions du désir, et les pakistanaises.

Assis l'un en face de l'autre, Krystos et Hell savourent avec délice une coupe de " Nicolas Feuillate".
On ne se refuse rien.

Babou sort alors une JOB du paquet posé droit et bien parallèle aux briquet et à sa coupe.
Je vois que l'info a circulé.

Chemin faisant, elle roule entre ses doigts délicat un morceaux de ticket de metro qu'elle place a une extrémité de la feuille.
Ne jetez pas vos tickets de métro. Ils peuvent encore servir pour des voyages plus virtuels.

— Je connais ce truc, un ami m'as déjà fait découvrir cela mais il appeler cela une Pakistanaise et ce n'était pas pareil dans la préparation. J'ose a peine te dire que j'avais le Mouhahahaha super frénétique.
C'est devenu ton logo pour les fics. Ton image de marque.

Hell ouvre alors ses yeux et manque de tourner de l'oeil lorsqu'elle se rend compte qu'ils sont tout les deux, planant à 50 mètres au dessus du balcon, leur visage encadrer par une lune plus belle encore qu'elle ne l'avais jamais vue jusqu'a ce jour.
Très belle scène. Ça me rappelle la scène dans Twilight, quand Edward Cullen grimpe aux arbres avec Bella Swan dans son dos. Mais c'était moins romantique.

— Il se passe quelque chose de pas normal, Hell ! Tu ne l'as pas sentie ?
Très bon, le lien pour enchaîner sur la suite.

Le vent siffle, glaciale entres les branches des arbres, sur ce lieux ou deux êtres que tout séparent, on croisé leur regard.
Très bonne utilisation du changement de temps pour créer l'ambiance de la scène.

La voix tremblante, les yeux toujours empreint de colère, Krystos lui dit alors :
— C'est Cherry, Cherry Darling !
C'est toujours plus difficile d'écrire une fic sérieuse de ce genre, côté émotionnel. Ça demande quelques vodkas et cigarettes modifiées pour tenir le coup, les doigts crépitant de phalanges sur le clavier du pc, après minuit passé.

[Babou]

Je connaissais "Black out" d'Inferno, qui donne des féeries cauchemardesques, et "Crimen Amoris" de Sepultura, qui donne des cauchemars féériques, mais pas "Killeuze" de Vampire.

Je vois que l'info a circulé.

Il est 17 heure, un bruit claquant de talons Gucci claquent sur le bitume d'une avenue bondée de touristes, traders et clochard en tout genre. De ces talons, une forme feminine s'en élève.
Très belle phrase. J'aime le bruit claquant des talons qui claquent. << De ces talons une forme feminine s'en élève >>, c'est comme une perspective en photo, j'adore cet effet imaginé. Moi qui me suis rien acheté pratiquement cette année, au moins avec toi je fais le plein. Je t'ai quand même sorti le Louboutin. Sinon des fois je craque pour Accessoire de Jean-Paul Barriol, et je claque, c'est pour faire un rappel avec les talons, je craque pour les chaussures fermées, lacées, oeillées et les bottes.


Quelques pas plus loin et elle se retrouve face à une porte à laquelle elle frappe trois coups. Trois secondes passent avant que la porte ne s'ouvre et qu'une main l'invite à entrer discrètement.
Trois secondes pour arriver à la porte et l'ouvrir, il est plutôt rapide ce jeune homme. On a tous un Davidoff chez soi, après la clope, le cigare. Il est où le bureau ovale ?

David réapparait quelques minutes après, déposant des boites de munitions spéciale "Killeuze de Vampire" et quatre sachets de plastique contenant une étrange substance de couleur verte.
Y a réellement marqué "Killeuse de Vampire" sur la boîte ? Je connais pas la substance verte, j'étais habituée à une substance blanchâtre dans ma vie antérieure.

— Bien ! Comme vous le savez, Hell Babou et l'exterminateur sont désormais lié par un lien très fort.
C'est le moins qu'on puisse dire, mais avec ce développé couché pratiqué sur au moins quinze lignes, sûr que que nous sommes liés d'un fort lien. On développe un texte, on couche une écriture, en même temps le papier couché existe et le verbe, sous sa forme populaire, aussi. C'était pour expliquer la subtilité du développé couché qui en même temps est un exercice physique.

Soudain, une lueur coquine dans le regard, Hell dit à Krystos :
— Si on pimenté un peu la soirée ?
— Que veux tu dire ?
— Laisse moi faire.
Babou sort alors une JOB du paquet posé droit et bien parallèle aux briquet et à sa coupe. Elle se lève, se dirige jusqu'a la chambre d'où elle revient avec l'un des étrange sachet qu'elle as acheter à David........ Ceci fait, elle repose, toujours parallèle au paquet de cigarettes et autres items de la tablée.
Excellent la JOB !! Et j'adore tout pimenter. Mais t'es incroyable ! Je te dis des trucs comme ça en passant et tu retiens ! Oui, je pose mes affaires toujours bien droites, bien parallèles entre elles. Mais je ris parce que la JOB c'est la cigarette du pauvre, d'où l'expression pauvre comme job ? C'est drôle mais aucun rapport entre les deux. Ça m'est venu comme ça à l'esprit.

Avec minutie et dextérité, elle ouvre la cigarette sur toute sa longueur, en deverse son contenue dans une feuille à rouler et ouvre le fameux sachet d'où elle extrait quelques pincées d'une substance herbeuse qu'elle déverse dans le tabac.
Je me doutais bien que quelque chose se tramait et je comprends mieux la couleur verdâtre. Mais ces herbes sont consommées et consumées séchées alors elles perdent leur chloro.

Pour finir, Hell roule entre ses doigts la feuille contenant le mélange et d'un coup de langue malicieux et provocateur, referme la cigarette ainsi modifié.
Lol, ne me tend pas la perche avec la langue malicieuse et provocatrice. Heureusement y a plus de trou dans les tickets, ça ferait un appel d'air.

— Je connais ce truc, un ami m'as déjà fait découvrir cela mais il appeler cela une Pakistanaise et ce n'était pas pareil dans la préparation. J'ose a peine te dire que j'avais le Mouhahahaha super frénétique.
Mais .... t'as fait une regression dans ma vie antérieure ? Peu importe le chemin emprunté, tous les chemins mènent à Rome dit-on, alors pourquoi pas au Pakistan.

Aussitôt, Krystos s'empare du briquet pour allumer Hell qui tire une bouffée avant de la passer a Krystos qui en fait de même.
<< Pour allumer Hell >>, t'as raison, autant allumer les deux : la cigarette et Hell.
Hell, c'est le plus violent des poèmes, elle n'a pas peur de dire je t'aime, elle fait l'amour exclusivement.

— Tu est prête ? Lui susurre Krystos à l'oreille.
— Oui même si j'ai un peu peur de ce que tu me réserve, krys Chéri !
Mais non, je n'ai pas peur, je te suivrai jusqu'au bout du monde, poussée par la brise estivale, mes bras ton corps enlaçant.

Hell ouvre alors ses yeux et manque de tourner de l'oeil lorsqu'elle se rend compte qu'ils sont tout les deux, planant à 50 mètres au dessus du balcon, leur visage encadrer par une lune plus belle encore qu'elle ne l'avais jamais vue jusqu'a ce jour.
En d'autre circonstance, Hell serait terrassée par la peur mais étrangement, le contact brulant d'amour du corps de Krystos ne fait que la rassurer et perdant tout le contrôle de son être, ses yeux de biche encrés dans ceux de Krystos, un seul mot arrive à sortir de sa bouche :
— Je t'aime...
...... moi non plus. Moi planant à 50m au-dessus du balcon .....mais mon amour, avec mon vertige je risque de me raccrocher à n'importe quoi ...

— C'est Cherry, Cherry Darling !
C'est la Gogo danseuse qui ne dansera plus. C'est un piège ?

[Krystos]

Episode 7

Un silence particulièrement pesant règne en maître sur Central Park. même le vent semble s'incline face au poids de ce silence sinistre et glauque. Cependant, une voix parvient a percer le silence.
— Qui est-ce ? Tu la connais ?
Cette voix est celle d'Hell Babou. Krystos, toujours penché sur le cadavre de la pauvre Cherry, lève a peine la tête pour répondre.
— Oui ! Elle s'appelle Cherry, une jeune fille que j'ai connue une fois dans un bar.
Une légère pointe de jalousie dans le regard, Hell Babou rétorque
— C'est malheureux pour elle, mais ce n'est qu'une victime de plus, nous ne pouvons rien faire de plus, il faut nous en aller avant que les autorité ne vienne ici !
— Non ! Il y as quelque chose qui cloche, je ne l'aurais pas autant ressentis si ce n'était qu'une victime parmi tant d'autre...Pauvre fille, l'innocence même ! Elle mérite vraiment pas ça ! Un boulot misérable, plaqué par sa copine et maintenant...morte !
Le mot copine semblant rassuré soudainement Hell, elle finit par ajouter :
— Bien ! Alors si ce n'est pas une victime ordinaire, qu'est ce que cela signifie ?
Sans même prêter attention aux paroles d'Hell, Krystos relève les cheveux de Cherry, dévoilant sa nuque ou le Kanji " Shi " y est scarifié.
— " Shi " ! la mort, en Japonais...Je te l'avais dit Sweety qu'il y avait quelque chose qui clochait !
— En effet, mais qu'est ce que cela peut bien vouloir signifier ?
— Quelqu'un ou quelque chose essaye d'attirer notre attention et visiblement, ça n'as rien d'amical !
— Et qui ou qu'est ce qui voudrait attirer notre attention et pour quelles raisons surtout ?
— Je l'ignore mais je connais un moyen ?
— Lequel ?
— Selia !

Des volutes de fumée parfumée aux Jasmin, embaument la pièce dans laquelle se trouve Hell et Krystos. Face à eux ce qui semble être une femme, cintré dans un Kimono de soie rouge moucheté de fleur dorées, un maquillage soutenue et raffiné,est assise en tailleur. Impassible et concentré, cette personne ne prête même pas attention a Hell et Krystos.
— Hell ! Ma douce, je te présente Sélia...L'Oracle.
— Tu est sur qu'elle sauras nous dire ce que nous recherchons ?
Un regard furibond se porte alors sur Hell de la part de Sélia. Gênée, Hell demande :
— J'ai gaffée ?
— Euh...Selia est un homme, ma douce ! Et un Oracle de grande compétence.
Soudain, comme sortie d'un coma profond, Selia desserre enfin les lèvres.
— Alors Krystos, que me vaut l'honneur de ta visite ? Cela fait si longtemps !
— Nous avons un léger problème.
Sur ces mots, Krystos tend à Selia, le morceau de peau gravé qu'il as prélevé sur Cherry. Hell ne s'en étant pas rendu compte tout à l'heure, manque de tourner de l'œil à l'idée de ce que Krystos a fait.
Selia prend alors le morceau de peau entre ses doigts, l'observe quelques secondes et ferme les yeux. Pendant presque deux minutes il entre dans une transe violente, ses paupière s'ouvrent et se refermant à un rythme infernal, sa bouche générant des mots dont le sens échappe totalement a Hell et Krystos. Puis il s'arrête et ouvre les yeux, des yeux empreint de peur. Un seul mot parvient à s'échapper :
— Meian !
— Quoi ? Dit moi que ce n'est pas vrai ! dit alors Krystos, le regard enflammés de colère.
— Qui est cette Meian ? demande Hell, interloquée.
— C'est elle, c'est elle qui est responsable de ce que je suis aujourd'hui.
Selia les interromps alors
— Elle est très en colère ! Elle sait pour vous deux ! Vous représenter une menace. Cette victime est un message, ou plutôt....Une invitation !
— Une invitation ? Demande Babou
Krystos prend alors la parole :
— Oui, je crois deviner son sinistre dessein ! Elle veut qu'on la retrouve sur ses terres, elle veut se débarrasser de nous ou tout du moins faire en sorte de nous séparer. Cela fait des siècle que j'attends le moment de mettre un terme à son existence. Elle nous en donne l'occasion, je vais pas la rater .
— Mais c'est trop dangereux ! dit Hell Babou sur un ton presque implorant.
— Oui ça l'est mais elle ne s'arreteras pas avant d'avoir obtenue satisfaction....et puis il n'y as plus seulement moi qui soit concerner. Je dois venger Cherry et surtout...te protéger ! Face à elle tu ne vaudras pas plus qu'un coup de vent...Ce n'est pas un Vampire ordinaire !
— Si il doit en être ainsi ! Mais je ne te lâche pas d'une semelle !
— Ais je le choix ?
— Non ! Conclue Hell dans un sourire.
Krystos se retourne alors vers Sélia et lui demande :
— Sait tu ou nous pourrons la trouver ?
— Elle se terre quelque part dans les entrailles du mont Fuji, au Japon. Une fois las bas, ton instinct te guideras vers elle...après tout, c'est ton parent le plus proche !

Meian arbore un sourire remplie de satisfaction, Hell Babou et Krystos sont enfin sur sa piste. Jusqu'à présent tout fonctionne à merveille.Cela fait des siècles qu'elle attend le moment ou ses yeux se reposeront sur ceux de Krystos. Elle connait la rancœur que Krystos lui porte mais n'as jamais perdue espoir de pouvoir un jour réussir à enfin le rangé à ses côtés.
Son prochain objectif est désormais de trouver comment mettre un terme au lien qui unit les deux amoureux et surtout comment les attirer jusqu'à son repère. Cela ne seras pas chose facile, mais Meian est bien entourés et sait que sur son territoire, elle est invulnérable.

Allongés dans un bain de mousse au senteur orientales, les bras de krystos l'entourant, Hell pense. Une Black Devil Chocolat en bouche, un Martini Rosso dans la main, Hell se perd de plus en plus dans ses pensées, les membres engourdies par la chaleur de l'eau.
Krystos quand à lui se perds dans le parfum suave de sa peau, promenant son nez dans le creux de son cou pour en ressentir toute la chaleur et s'extasier au battement tendre de son coeur.
Krystos lui dit alors doucement au creux de l'oreille :
— Qu'est ce qui ne va pas Sweety ?
— Oh rien ! Je suis juste un peu inquiète . On s'en va pas jouer dans la cour des petits.
—Oui, ton inquiétude est somme toute normal. L'ennemie qu'on as a affronter est très puissant...Nos vie sont en danger plus que jamais !
— Mais d'un autre coté, je me sens en confiance avec toi, je serais prête à tout pour ton amour, même a affronter le diable lui même !
—Je ne sais pas lequel est préférable ! Dit Krystos sur un air navré.
— Tu sais ce qui m'angoisse le plus ?
— Non ?
— Je vais encore devoir prendre un congé sans solde !

[Phantom_Blue]

Tu as choisi une fic avec des cadavres. Pas évident d'assumer la morgue. Descendre la nuit l'escalier en métal de l'inconscient, les pas résonnant sur les marches. Se retrouver dans le vaste labo tapissé par un carrelage blanc, éclairé par des néons qui gerbent une lumière vive sur les tables d'autopsies. Se verser un verre de Nikka From The Barrel Blend. Allumer une Camelia Sports de la Veuve Bertomeu. Contempler le corps nu de Cherry Darling vidé de son sang. Avec en mémoire la dernière étreinte vibrante d'Hell Babou. Et sur la langue, le goût pétillant du "Nicolas Feuillate".

La tension est bien amenée. Tu sais entrer dans une scène au moment où il faut, et en sortir quand tout a été montré et dit. Les ambiances sont bien rendues et créent un contraste entre le luxe amoureux baigné d'insouciances et la violence de la mort rappelant la dure réalité du pouvoir et de la folie.

[Babou]

— Oui ! Elle s'appelle Cherry, une jeune fille que j'ai connue une fois dans un bar.
Une légère pointe de jalousie dans le regard, Hell Babou rétorque ....
...... c'est parce que je t'aime

— C'est malheureux pour elle, mais ce n'est qu'une victime de plus, nous ne pouvons rien faire de plus, il faut nous en aller avant que les autorité ne vienne ici !
Je suis expéditive et pas vraiment compatissante, aurais-je un coeur de pierre ? Je ne veux surtout aucune rivale, qu'elle soit morte ou vivante.

— Bien ! Alors si ce n'est pas une victime ordinaire, qu'est ce que cela signifie ?
Sans même prêter attention aux paroles d'Hell, Krystos relève les cheveux de Cherry, dévoilant sa nuque ou le Kanji " Shi " y est scarifié.
C'est pas une victime ordinaire et pas non plus une mort ordinaire. Est-ce bien là le bristol annoncé ?

Face à eux ce qui semble être une femme, cintré dans un Kimono de soie rouge moucheté de fleur dorées, un maquillage soutenue et raffiné,est assise en tailleur. Impassible et concentré, cette personne ne prête même pas attention a Hell et Krystos.
Y a beaucoup de soie et beaucoup de rouge à travers les épisodes.

— Hell ! Ma douce, je te présente Sélia...L'Oracle.
— Tu est sur qu'elle sauras nous dire ce que nous recherchons ?
Un regard furibond se porte alors sur Hell de la part de Sélia. Gênée, Hell demande :
— J'ai gaffée ?
— Euh...Selia est un homme, ma douce ! Et un Oracle de grande compétence.
J'ai gaffé oui, mais bon, donner un sexe sur une personne en kimono, le visage fardé soutenu, avec un nom sans genre vraiment, je suis pardonnable.

Sur ces mots, Krystos tend à Selia, le morceau de peau gravé qu'il as prélevé sur Cherry.
Il faut être d'une grande habileté pour prélever juste une peau en morceau. T'avais ton couteau Suisse avec toi ?

Hell ne s'en étant pas rendu compte tout à l'heure, manque de tourner de l'œil à l'idée de ce que Krystos a fait.
Pour moi qui suis une Columbo au féminin, c'est drôle que ce petit bout de chair manque de me faire tourner de l'oeil.

— Qui est cette Meian ? demande Hell, interloquée.
— C'est elle, c'est elle qui est responsable de ce que je suis aujourd'hui.
Selia les interromps alors
— Elle est très en colère ! Elle sait pour vous deux ! Vous représenter une menace. Cette victime est un message, ou plutôt....Une invitation !
— Une invitation ? Demande Babou
Krystos prend alors la parole :
— Oui, je crois deviner son sinistre dessein ! Elle veut qu'on la retrouve sur ses terres, elle veut se débarrasser de nous ou tout du moins faire en sorte de nous séparer. Cela fait des siècle que j'attends le moment de mettre un terme à son existence. Elle nous en donne l'occasion, je vais pas la rater .
— Mais c'est trop dangereux ! dit Hell Babou sur un ton presque implorant.
— Oui ça l'est mais elle ne s'arreteras pas avant d'avoir obtenue satisfaction....et puis il n'y as plus seulement moi qui soit concerner. Je dois venger Cherry et surtout...te protéger ! Face à elle tu ne vaudras pas plus qu'un coup de vent...Ce n'est pas un Vampire ordinaire !
— Si il doit en être ainsi ! Mais je ne te lâche pas d'une semelle !
— Ais je le choix ?
— Non ! Conclue Hell dans un sourire.
Le ton change et je vais de surprise en surprise. D'abord le cadavre de Cherry, puis le dessein démoniaque de Meian. Mais cette Meian n'arrivera pas à nous séparer, c'est ce que je me dis, pourtant il va falloir l'affronter. Et non, t'as pas le choix, j'ai trouvé le Vampire de ma vie et je te suivrai jusqu'au bout de ma folie.

Allongés dans un bain de mousse au senteur orientales, les bras de krystos l'entourant, Hell pense. Une Black Devil Chocolat en bouche, un Martini Rosso dans la main, Hell se perd de plus en plus dans ses pensées, les membres engourdies par la chaleur de l'eau.
C'est sûrement toi qui m'a offert cette Black Devil vu que tu la fumais déjà en remontant le 5e Avenue. Ouais, mais là elle est au chocolat, elle se croque ? Sympa les bains qu'on prend, on est super cool quand même.

— Mais d'un autre coté, je me sens en confiance avec toi, je serais prête à tout pour ton amour, même a affronter le diable lui même !
— Je ne sais pas lequel est préférable ! Dit Krystos sur un air navré.
Le Diable ne me fait pas peur, je l'ai cotoyé une fois, toujours dans une vie antérieure.

— Je vais encore devoir prendre un congé sans solde !
Je suis plus à ça près, déjà qu'ils me payent pas mes heures supp, et pis nous on peut vivre d'amour et de sang frais.

[Krystos]

Episode 8

Des milliers de lumière scintillent dans la nuit en un ballet de couleurs multiples accompagné de la douce musique de la foule mêlé a celle de la circulation. Sur un immense passage clouté, des dizaines de personne circulent en double sens. Au milieu de ces gens, deux personnes se démarquent de la populace local.
Moulé dans une combinaison de lin au nuance Safran, fermeture a glissière du cou jusqu'au pubis, des bottine à œillet de cuir ambré délavé, Hell Babou est au bras de Krystos, simplement vêtu d'un Pantalon "Working Man" Noir, rehausser d'une chic chemise col Mao en viscose bleue Irisé, un long manteau de cachemire noire ébène l'enveloppant de sa douceur.
— Tokyo est toujours aussi magnifique de nuit. Entonne Hell, toujours agrippé au bras de Krystos.
— En effet, c'est tout un autre univers, bien moins glauque que New York, même si j'avoue que toutes ces lumière me font un peu mal aux yeux. Dit Krystos en mettant ses Sunglass " Valentino" à monture carré finement dorée.
— Moi ça me rappelle que l'on est au 21ème siècle ! Il est encore tôt ! si on aller manger un morceau, qu'en dit tu ?
— Je doute fort, qu'ils servent ce que je mange habituellement mais allons y, je pourrais toujours boire un verre. Lui lance Krystos, clin d'oeil à l'appuie.
Les deux amoureux pénètrent alors dans un bar/restaurant typiquement pas Nippon dans le nom mais qui l'est bel et bien, le "Sun Café".
Visiblement, l'établissement n'est pas beaucoup fréquenter à cette heure du soir. En effet, à l'autre bout de la salle, un jeune couple d'amoureux se délectent de "Perle de Coco", un dessert très sucré et près de l'entrée, accoudé à sa table, son septième café noir fumant posé près des six autres tasses, un énigmatique individu as les yeux fixés sur ses mains habilement occupés a confectionné des cocotte en papier avec les emballage de sucre.
Pour confectionner de tel petit chef d'œuvre, il ne faisait nul doutes que cette personne avait appris l'art subtil de l'origami lors d'un voyage astral dans la petite ville de Imarate Yapukaratake. Une petite ville très attaché aux tradition se situant à l'ouest d'Imatoumi et à quelques kilomètres de la bourgade de Sakakiki.
Le regard d'Hell se porte ensuite sur un panneaux d'information qui semble peu lui plaire :
— C'est pas vrai ! C'est interdit de fumer dans ce restaurant ! Viens Krys Chéris, allons en terrasse.
Une Royal Menthol entre les lèvres, Hell se concentre sur le menu alors que Krystos, lui a déjà choisis. Leurs commande passé, ils n'ont pas longtemps a attendre avant d'être servie.
Un simple pichet de Saké chaud pour Krystos et un assortiment de maki*, sushi*, sashimi* suivis de deux Onigiri* et quelques Yakitori* "Gambas" accompagné d'un Saumur fraichement pétillant pour Hell.
Hell se régalant de ses délices poissonnés crues et Krystos s'enivrant de Saké*, le temps file sans qu'il ne pensent une secondes aux épreuves qui les attendent. Entre deux coup de baguettes difficilement maniés, Hell demande à Krystos :
— Kihou* ! Sa te tente une petite excursion avant d'aller dormir ?
— Pourquoi pas ! A quoi pense tu ? Night Club ? Salle de jeux ?
— Non, j'ai bien plus intéressant et bien plus excitant ! Lui dit Hell, une lueur enfantine dans les yeux.

Il se fait tard, le silence règne dans les rues déserte des quartier populaires de Tokyo. Un miaulement plaintive d'une Neko* en mal d'amour brise soudain le silence nocturne, suivie peu de temps après par le claquement de deux pair de pieds.
Les claquement s'estompent dans une ruelle isolé.
Hell et Krystos se sont arrêter devant une étrange maison.
— Nous y sommes ! Dit Hell
— Quel est cette endroit ? Demande Krystos, qui étrangement se sent peu rassuré à la vue de cette maison a l'aspect lugubre et fantomatique.
— Il parait que c'est l'une des demeure les plus hanté de toute l'archipel Japonaise.
— Que s'y est il passé ?
— Dans un excès de rage causé par l'adultère, un homme y tua sa femme, son fils et son chat avant de se pendre lui même. Depuis il parait que cette femme, Kayako et son fils Toshio, hantent les lieux et que quiconque pénétreras les lieux sera poursuivis par une terrible malédiction...c'est trop fun ! On entre ? !
— Si tu insiste, pour ma part je suis déjà mort alors...
— Dôzo* ! Invite alors Hell à entrer.
Hell et Krystos se retrouve alors à l'intérieur de la maison. Krystos sent l'atmosphère sinistre des lieux lui pesé comme la Terre sur les épaules d'Atlas alors que Hell avance d'un pas sur et fière dans la maison.
Le craquement des boiserie n'est pas fait pour rassurer Krystos. En route a explorer l'étage, leur exploration est stoppé net par un miaulement dantesque à vous glacer d'effrois le plus glacé de tout les vampire.
— Qu'est ce que c'était ? demande Krystos
— Elle est la ! Dit Hell un grand sourire lui étirant les zygomatiques.
— Qui ?
— Kayako, regarde...sa vient du placard.
Mais un râle profond semblant provenir d'une gorge écrasé l'empêche d'avancer plus et la fait se retourner vers Krystos. Une masse flottante et d'un noir intense semble flotter au dessus de lui, comme une chevelure suintante. Soudain, une forme ovale et blanche en émerge...Un visage de femme.
Krystos, malgré son statut de Vampire, n'ose pas bouger d'un poils.
Hell tente alors d'attirer l'attention sur elle, mais ce qui semble être Kayako, ne prête aucune attention à Hell. Le regard de Kayako est plongé dans celui d'un Krystos Paralysé.
Hell n'aimant pas trop l'insistance du regard du fantôme, qu'elle juge fort suspicieux, elle se place en toute hâte entre les deux et sur un ton posé mais revendicateur, elle lance alors à Kayako :
— Hey ! Chérie !! Tu voudrais pas allez allumer la mèche de ton tampon, dans l'espoir de te faire péter la tirelire...Parce que toi, c'est vraiment la seule façon que t'auras jamais de te faire sauter !
Au son de cette Boutade, la paralysie de Krystos disparait pour laisser place a un Mouhahahaha Frénétique et lacrymal tandis que Kayako pousse un long et rageux râle guttural qui est stoppé net par Hell :
—Mais t'as pas bientôt finis ton cirque ma vieille ? Ça fait déjà trois film que tu nous pompe l'air avec ta foutu vengeance a la mord moi le nœuds. Tu est pathétique, tu fait aussi peur qu'un télétubbies en mode " gros Calin"...allez retourne chez ta mère ! On as pas que sa a foutre !
Sur ces mots, le fantôme de Kayako disparait dans un râle qui cette fois ressemble plus a des pleurs de honte.
— Ah ! C'était plutôt marrant comme visite hein ? Demande Hell à Krystos qui pompait nerveusement sur une Black Devil Caramel.
— Euh oui, enfin c'est pas trop mon trip quoi mais bon..dit Krystos en écrasant sa cigarette contre le mur.
— Moi je me suis amusée comme une folle, mais j'ai bien cru un moment qu'elle allait te mettre le grappin dessus, cette coureuse d'homme ! Enfin c'est pas le tout, si on allez dormir un peu, j'ai repérer un "Love Hotel" charmant .
— Oui, cette maison me fout vraiment le cafard !

Meian s'extasie de son repas, une jeune touriste Français au sang vif et légèrement amer lorsque Luny déboule dans la salle du trône, un sourire immense découvrant ses canines délicates et encore vierge de tout repas depuis la veille.
— Que ce passe t'il ? Qu'est ce qui te rend aussi euphorique ma tendre Luny ?
— Meian Sama ! Ils sont arriver à Tokyo ! Votre plan as fonctionner...Tuer la petite cherry n'as fait qu'attisai la haine de l'Exterminateur envers vous et leur as permis de venir jusqu'à nous, mais....
— Mais quoi ?? Demande Meian, très impatiente
— Selia n'as pas été assez précis, il nous a situer dans les entrailles du mont Fuji, mais sa fait des kilomètres encore a chercher, Ils ne savent pas exactement ou nous nous trouvons.
— Je ne m'inquiète pas de cela, l'instinct de l'exterminateur le mèneras jusqu'à nous ! Ce pendant...
— Oui ?
— Il y as quelque chose que vous aller faire pour moi.
— Qu'attend tu ?
— Rend toi à la surface avec Sakito et Hakuei et sans la blesser, capturer moi Hell Babou !
Le rire démoniaque de La reine résonne sur ces dernier mots :
Tu est enfin à ma merci, L'exterminateur ! Hahahahahaha !

Krystos et Hell se retrouve dans le hall d'un "Love Hotel" cosy de Tokyo. Hell Babou, les yeux fixés sur l'écran lumineux ou l'on choisi les chambres,vient enfin de se décidé pour la suite Blue Dream .
Le passe électronique en poche, il pénètre dans une suite magnifiquement décoré.
Un lit "matelas à eaux" orné d'une literie de satin bleue azur, des chandelles marine diffusant une lumière tamisé et agréable et une bouteille de Dom Perignon fraiche accompagnées de ses fraises. Un feux artificiel brûle dans une cheminée tout autant artificiel mais qui ne manque pas de cachet.
Krystos encore Jet lagué s'enfonce dans le Matelas, les yeux lorgnant sur le coquin fessier d'hell qui se dirige vers la douche.
Trente minute passe. Babou ressort, vêtu d'un déshabillé "Passionata" rose Fushia, en soie et finition dentelle noire. Délicatement , elle s'assoit sur le lit,sert deux coupe de champagne et se grille une cigarette modifié par ses soins.
Krystos tire quelques bouffées, savoure le doux nectar champagnesque et plonge ses narines dans les cheveux d'Hell qui dégagent un précieux parfum de Butyrospermum Parkii dont elle les a oint.
Un derniers regard sur Hell, ses lèvres caressant le satin de sa peau, Krystos finit par s'endormir, les bras serrer autour de sa taille.
— Pour un seul de tes regards, mon Amour ! Ce démon je détruirais sans détours ! Murmure Hell avant de sceller ses yeux dans les ténèbres du sommeil...




* Sushi : Tranche de poisson cru sur tas de riz///Sashimi : Pièce de poissons crue///Maki : Rouleau de riz, entouré d'une algue avec poisson cru en son coeur selon les variétés///Onigiri : Boule de riz assaisonné recouverte d'algue////Yakitori etite brochettes existante en différente variété////Saké : Vin de riz à 20% de volume d'alcool environ...à ne pas confondre avec le Saké chinois qui est de la liqueur de riz qui fait au minimum 50 %///* Kihou : Chéri///neko : Chat///Dôzo :Je t'en prie

[Maat]

ton histoire est tres jolie continu comme sa kiss