CHAPITRE 9 : DANS LA JUNGLE, TERRIBLE JUNGLE…Depuis cinq minutes, je regardais le paysage vert de la jungle, essayant de me souvenir comment j’avais atterris là . De vagues souvenirs s’entrecroisaient, laissant place au visage de Kurtis. Il avais sois disant disparu.
- Lara ! La jungle amazonienne t’attend ! Rigola Jo Estombarse, un ami qui m’avait emmené par l’avion à ma destination, pour ma troisième relique.
- D’accords, merci Jo !
Descendant par une échelle, je commença ma route vers le temple d’Osonus.
- Bon Lara je t’ai transféré le plan de la jungle. Me dit Zip
- Super Zip, merci.
- Oui bon Lara, cette jungle est très dangereuse, il y a plein de pièges et autres ! Alors sois prudente !
- Oui Alister merci, je serais prudente ! Dis je en retenant en grande peine un profond soupir d’ennuis et d’agacement.
Regardant mon PDA, j’avança droit devant moi, sans savoir quels pièges mortels m’attendront.
Depuis plus de trois heures, les arbres vers, le sol couverts d’épines étaient ma seule vue. Trois de répits sans entendre les disputes de Zip et d’Alister. Ne trouvant aucune sortie possible, je consultai mon PDA, m’accoudant contre une pierre. La pierre vacilla. Perdant l’équilibre, je me rattrapa de justesse à une branche basse d’un arbre, et regarde la pierre. Un trou béant avait cédé place au rocher, d’où une multitude de grosses araignées en sortit.
Je me mis à escalader l’arbre, et arrivée en hauteur, je découvrir avec stupeur que les araignée étaient en train de me suivre. Le sol était à plus de quinze mètres de hauteurs, et l’arbre le plus proche à une distance dix mètres. Réfléchissant, je me tourna vers le ciel, où j’avais perçue un bruit de fond. Je ne vis rien et me concentra sur un moyen de sortir. Les bestioles n’étaient plus de loin de moi. Une balle dans mon épaule me fit basculer vers le trou noir et je m’accrocha aux rebords. Je me releva et courus droit devant, et m’arrêta d’un seul coup, me faisant tomber sur le dos, quand des flèches sortir du sol. Elle se baissèrent et remontèrent à une vitesse donc je ne pouvais calculer. J’escalada un arbre, et saute sur le suivant, passant au dessus des piques. Je retournais sur le sentir, frôlant un buisson d’une forme bizarre, et, sans y faire attention je courus. Les rugissements de tigres sur ma droite me firent sursauter. Je pris mon pistolet anéantissant et leur tira dessus. Derrière moi, une autre avait bondit, toutes griffes dehors. Je recula d’un pas, et un filet tomba sur le fauve, et une corde me souleva. J’entendis quelqu’un ricaner et je levis la tête.
- John ! Dis je d’une voix éprouvant un certain dégoût.
- Pauvre Lara Croft. Ricana t-il. Au revoir et bonne chance pour partir
- Compter sur fois. Murmurai je, tout en prenant un couteau dans ma botte.
J’agrippa la corde d’une main, et de l’autre la sectionna et me laissa tomber discrètement. Je balança le poignard sur John. Ce dernier s’effondra, le poignard ficher dans la nuque. Je continuai ma route vers le temple. J’étais arrivé en cinq minutes. Mon poignet de mis à brûler, ce qui me força à regarder. Ce que je vis me convaincue d’une chose. Celle de ma mort
CHAPITRE 10: RELIQUE MORTELLELa faucheuse
(lien) y été tracée. Habillée d’une longue cape noir, brandissant d’un air triomphant sa fauche blanche, maculée de sang. Telle une malédiction qui s’était posée sur moi. Zip me sortit de mes pensées.
- Lara ? Tu vas bien ?
- Oui Zip, sa va !
Je me remis en marche, car John Cerner, que j’avais laissé plusieurs mètres derrière moi, un poignard dans la nuque, allait tôt ou tard, repérer mes traces de pas. J’entra dans le temple et une chute de pierre barra la route de la sortie, laissant place à une minuscule ouverture. C’était la seule issue pour m’échapper, et je décidais de continuer. Ce fut une erreur fatale. La plus grosse erreur de ma vie. Celle qui décidera si je dois vivre ou non. Et la seule sortie qui pouvait me laisser vivante, se ferma par une autre pierre, qui avait roulé. Je ne m’en soucia pas, et pénétra dans une salle éclairée. Il est était à présent…. Trop tard.
A peine être entré dans la pièce secondaire, la lumière m’aveugla. Elle s’atténua, jusqu’à s’arrêter entièrement.
- Zip ? Demandai je. Que se passe t-il avec la lumière ?
- Il doit avoir un détecteur de mouvements. Quand une personne arrive, la lumière s’éteints.
- Oui, mais il doit avoir une raison Lara. Tu as des torches ? Me questionne Alister.
- Oui, pourquoi ? Tu penses qu’il y a des pièges ?
- Bien sûr. Fais attention.
Prenant une torche, je la balançai au hasard, dans la pièce. La lampe s’alluma, me montrant une étendus de sable blanc. Méfiante, je marcha jusqu’au milieu de la pièce, une pièce noir attira mon attention. Je la pris. Je n’eus pas le temps de la regarder. Le bruit d’une cage tomber du haut me fis lever la tête. Elle tomba sur moi, me bloquant l’accès. M’agrippant aux barreaux, je les secouais violemment. Sous mes pieds, le sable s’enleva. Toujours agripper aux barreaux, la cage descendis très vite. Le poids de l’apesanteur me fit voler. Cela dura une bonne vingtaine de minutes, lorsque la cage se volatilisa. Pour elle la descente était finit. Pour moi, elle venait de commencer.
J’avais fermé les yeux depuis plus d’une heure déjà , lorsque j’atterri dans l’eau. La froideur de l’eau me fit reprendre douloureusement la réalité. Remontant à la surface, je sortie de l’eau. Devant moi se tenais la Pierre d’Herkaitos. En forme d’aigle noir, elle portait en son centre un rubis, de la taille d’un œil. Je la pris délicatement et la fourra dans mon sac. Une voix grave s’éleva derrière moi
- Tu as fait le mauvais choix ! Dit elle
Je me retourna le pistolet braquer dans le vide.
- Tu as fait le mauvais choix Lara. Je t’avais pourtant prévenus. Un choix important déciderait de ta vie. Tu as choisis la mort, et tu as bien fait. Sinon, si tu as peur de la mort, enlève la relique. Tu as le droit à une seule minute pour t’en débarrasser. Il ne te reste plus que 15 secondes
La voix de Kurtis disparus. N’écoutant pas ce conseil, je partis dans la direction opposer. Un incendie éclate devant moi. Une force surnaturelle s’abattit sur mes épaules, me fis tomber à terre et me griffa dans le coup. Toujours à terre, je me mis sur le dos. La terreur m’empêcha de bouger. Je ne pus que hurler, hurler, et encore hurler. Mais les seuls qui m’entendaient étaient Zip, Alister et Winston, impuissants face à la menace qui se tenais devant moi.